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Scandale immobilier à Casablanca

Tout est parti de plaintes déposées par des petits investisseurs immobiliers auprès de Mohamed Mhidia, le wali de la région Casablanca-Settat. Dans leurs plaintes, ils accusent les élus des provinces de Berrchid, Médiouna et Nouacer de spéculation immobilière illégale. Ils ont travaillé ensemble pour s’approprier des terres dans des lotissements dépassant parfois 120 hectares.

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Les autorités ont alors ouvert une enquête approfondie pour examiner les opérations de lotissement en cours dans une commune de Berrchid. Les investigations révèlent qu’un intermédiaire, soutenu par le président de cette commune actuellement en révocation devant la Cour de cassation, aurait acquis plus de 38 parcelles dans des zones stratégiques, privant d’opportunités les promoteurs immobiliers. essentiel.

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Autre constat : alors qu’une directive du ministre de l’Intérieur ordonne la suspension de la délivrance des permis de construire en échange du remboursement des dettes communales, certains élus continuent de contourner ces restrictions, facilitant ainsi l’acquisition de terrains. La combinaison des procédures d’autorisation et de recouvrement des créances est non seulement illégale, mais également inacceptable, a réitéré Abdelouafi Laftit.

 
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