c’est la fin pour Toys“R”Us à Laurier Québec

C’est la fin pour la succursale du magasin de jouets Toys“R”Us, située au centre commercial Laurier Québec, qui fermera bientôt définitivement ses portes.

Des affiches affichées à l’entrée du magasin confirment l’annonce. Pour l’instant, aucune date précise ni la raison de la fermeture n’ont été confirmées.

Il s’agit de la deuxième fermeture en peu de temps d’un magasin de jouets au Québec. La boutique Benjo a créé une véritable onde de choc récemment en annonçant sa fermeture définitive après les fêtes de fin d’année.

Le magasin de Sainte-Foy est en liquidation majeure alors que presque tous les articles sont en solde. Plusieurs affiches mentionnant que « tout doit disparaître » ont également été installées un peu partout dans le magasin.

Bien qu’ils soient déçus par cette fermeture, certains clients rencontrés par La Revue ont tenu à souligner que cela n’est pas une surprise, sachant que l’achat en ligne est de plus en plus favorisé. De plus, un deuxième magasin se trouve à seulement quelques minutes.

Selon ce que nous avons appris, la succursale située aux Galeries de la Capitale devrait toutefois demeurer ouverte.

D’autres fermetures à prévoir ?

Pour le moment, il est difficile de savoir si cela annonce une vague de fermetures pour Toys”R”Us Canada, mais au moins une autre succursale au Québec fermera également ses portes.

Comme le rapportent les médias locaux Le Vent55 Mercredi dernier, le mégacentre Toys”R”Us de Drummondville, ouvert depuis 2011, fermera également ses portes.

L’annonce a d’abord été faite en interne auprès des salariés, avant d’être confirmée au public le 15 novembre.

Contacté par La RevueAfin d’en savoir plus sur ces deux fermetures, Toys”R”Us Canada n’a pas répondu à notre demande d’entrevue.

Plusieurs changements

Rappelons qu’en août 2021, la société Putman Investments a racheté Toys”R”Us Canada, comprenant également la marque Babies”R”Us, qui appartenait auparavant à Fairfax Financial.

En 2018, Fairfax Financial a déboursé 300 millions de dollars pour devenir propriétaire de la division canadienne de Toys”R”Us, alors sous protection d’entreprise. Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies.