Publié le 19 novembre 2024 à 06h43. / Modifié le 19 novembre 2024 à 08h08.
C’est un mouvement fondamental. La sous-location accapare les terres depuis des années. Cela ne concerne pas seulement le segment résidentiel, mais s’étend également aux bureaux. En vue du vote du 24 novembre, la société d’études immobilières Wüest Partner s’est penchée sur le sujet, car les données officielles font largement défaut.
Dans son analyse publiée vendredi dernier, l’entreprise s’est basée sur les annonces sur les principaux portails, mais sans prendre en compte celles sur Airbnb ni les publications sur les réseaux sociaux. “Nos chiffres montrent une nette évolution”, souligne Corinne Dubois, économiste chez Wüest Partner. Depuis dix ans, nous observons une tendance à la hausse du nombre de logements sous-loués.
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