Stéphane Rotenberg révèle ce grand changement dans Pékin Express depuis le début

Les sacs à dos rouges sont de retour ! Pékin Express revient déjà à l’antenne trois mois seulement après la victoire de Jean-Claude et Axel dans la version All-Stars de l’émission phare. Un programme qui, cette année, fête ses 20 ans. Dix binômes de candidats se lancent dans un voyage inédit ce jeudi 16 janvier à 21h10 sur M6. A cette occasion, le directeur de course et présentateur emblématique est à la radio ce matin pour en parler.

Stéphane Rotenberg constate le problème majeur des premières saisons de Pékin Express

Visage et voix indissociables de ce jeu d’aventure, Stéphane Rotenberg est aussi une référence pour les duos qui avancent avec l’aide d’un euro par jour et peu de connaissances du swahili ou de l’anglais dans les rues de Tanzanie. En effet, pour la troisième fois en deux décennies, des routards parcourent l’Afrique à bord de la route des tribus légendairescomme l’indique le titre de cette vingtième saison. Outre une sécurité renforcée avec la présence de rangers en brousse, les tandems sont équipés pour maintenir une parfaite communication avec la production. Chose totalement impossible lors de la première édition diffusée en 2006 ! « Quand je dépose les candidats à la frontière estono-russe, à Pskov, et qu’on les retrouve trois jours plus tard sur la Place Rouge, c’est la première étape de la première saison. On ne sait pas s’ils arriveront, on ne sait pas combien ils arriveront et à quel intervalle. Et ils arrivent avec un écart de 2-3 heures entre le premier et le dernier, mais nous avons été abasourdisse souvient le journaliste invité sur Europe 1.

Stéphane Rotenberg revient sur ce qui a le plus changé en Pékin Express

Ainsi, les participants ne sont pas suivis pendant 3 à 4 ans en raison de technologies moins développées à l’époque. « On n’avait pas d’autre choix, on avait des balises pour arrêter la course, mais c’était juste des bips, comme les marins, si jamais il y avait une urgence. Ils avaient une balise Argos qu’ils pouvaient déclencher.indique Stéphane Rotenberg, constatant aujourd’hui des relations beaucoup plus fluides. « Même avec un téléphone portable, on sait où ils se trouvent. Je peux les faire arriver à la minute près, et ça a tout changé. Je sais ce qui s’est passé, s’ils le sont en difficulté. Donc pour nous, c’est plus facile en général.il admet.

 
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