le club Barrière monte au créneau

le club Barrière monte au créneau
le club Barrière monte au créneau

Club Poker révélé hier : une réunion organisée au ministère de l’Intérieur lundi n’incitait pas à l’optimisme sur l’ouverture des clubs de la capitale dans la capitale au-delà du 31 décembre. Le groupe Barrière le confirme aujourd’hui dans un communiqué : «[Nous avons] été informé par les services du ministère de l’Intérieur de la fermeture obligatoire des clubs de jeux parisiens au 31 décembre, pour une durée inconnue à ce jour» Slovènes, les gérants d’autres établissements évoquent déjà une fermeture qui pourrait durer jusqu’à deux mois.

Le cœur du problème, vous le connaissez désormais : autorisé à titre expérimental Depuis 2018, les clubs ont vu leur « période probatoire » prolongée à deux reprises par le législateur. Cela devrait à nouveau être le cas dans le cadre de la loi de finances, mais la censure du gouvernement a interrompu le processus législatif et fait planer un sérieux doute sur l’avenir des clubs de courte durée.

Face à cette situation omniprésente, le club barrière »s’associe à d’autres opérateurs de la capitale pour tenter de trouver des solutions« Et souligne le des conséquences économiques et sociales désastreuses d’une fermeture, même temporaire : «Les clubs de jeux emploient directement plus de 1 200 personnes et rapportent chaque année 50 millions d’euros aux pouvoirs publics. Ils portent des missions d’intérêt général en luttant activement contre la prolifération des cercles de jeu clandestins. Sur les Champs Élysées, le club Barrière emploie 200 personnes et accueille plus de 200 000 visiteurs chaque année« .

Cette utilité des clubs, les services de l’État avaient été les premiers à la reconnaître ces derniers mois : à l’été avec des débats sur l’opportunité d’élargir leurs offres de jeux, puis à l’automne dans le cadre de ce projet de loi de finances mort-né qui activait la prolongation de l’expérimentation. pendant un an. UN réaction politique rapide est donc attendu par Grégory Rabuel, le directeur général du groupe Barrière : «La nouvelle est un choc pour nous. La situation est sans précédent et insensée. Des centaines d’emplois sont menacés. Nous demandons au futur gouvernement de trouver une solution dans les plus brefs délais« .

 
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