Pourquoi les César volés à Benoît Magimel seront difficiles à revendre pour les cambrioleurs – Mon Blog

Pourquoi les César volés à Benoît Magimel seront difficiles à revendre pour les cambrioleurs – Mon Blog
Pourquoi
      les
      César
      volés
      à
      Benoît
      Magimel
      seront
      difficiles
      à
      revendre
      pour
      les
      cambrioleurs
      –
      Mon
      Blog

Un cambriolage de valeur… qui ne vaut rien ? Ce mardi 3 septembre, Benoît Magimel a déposé plainte pour un cambriolage à son domicile, situé dans le 16e arrondissement de Paris. Selon les informations de BFMTV, les trois César de l’acteur auraient été dérobés.

Toutefois, ce butin pourrait ne pas avoir une grande valeur pour les voleurs. En effet, les statuettes seront difficiles à revendre dans un circuit officiel, car elles sont facilement identifiables. D’abord, elles sont gravées au nom de l’acteur, mais surtout Interpol dispose d’une base de données sur les œuvres d’art volées et ces Césars volés seraient ainsi immédiatement saisis.

Des sanctions pénales très sévères

De plus, comme l’a souligné la maison de ventes Cornette de Saint Cyr à BFMTV, aucune structure de revente ne pourrait les accepter, car l’acheteur et le revendeur prendraient un risque trop important.

Les sanctions pénales pour recel sont très sévères : une personne reconnue coupable encourt une peine de prison de cinq ans et une amende de 375 000 euros.

Même s’ils ne sont pas volés, l’Académie des César interdit la vente de ces récompenses, écrivant dans son règlement : « Les César sont décernés à titre personnel et ne peuvent être commercialisés. »

Au-delà de la dimension symbolique de l’objet, la valeur d’une telle statuette serait comprise entre 25 000 et 50 000 euros, la sculpture n’étant pas en or, mais seulement recouverte d’or.

Article original publié sur BFMTV.com

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV Fusillade meurtrière dans un lycée près d’Atlanta, un suspect de 14 ans arrêté – Mon blog
NEXT La NASA reconnaît les tensions avec Boeing concernant le retour des astronautes bloqués sur l’ISS