S’il y a un sujet dont on parle beaucoup en ce moment, c’est bien celui de la protection contre les risques de submersion. Les élus du bassin de Marennes, réunis mardi 9 avril, ont voté, comme chaque année…
S’il y a un sujet dont on parle beaucoup en ce moment, c’est bien celui de la protection contre les risques de submersion. Les élus du bassin de Marennes, réunis mardi 9 avril, ont voté, comme chaque année, pour participer à cette protection. 308 000 euros y seront consacrés, financés par la taxe dite Gemapi (gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations) qui représente environ 40 euros par habitat, mais avec de fortes disparités entre les administrés, chacun contribuant selon son niveau. fiscale (certains ne paieront que 20 euros tandis que d’autres pourront être imposés à 500 euros selon le principe de solidarité).
Les 308 000 euros dédiés à la protection serviront à financer des études préalables à la création d’ouvrages de protection à Marennes-Plage et Bourcefranc-le-Chapus, ou à financer la stratégie de gestion rapprochée avec aide à l’adaptation des logements. soumis à des risques dans l’idée d’éviter la construction d’ouvrages coûteux. Il s’agit par exemple d’installer des batardeaux ou de relever des compteurs électriques.
Achat de terrain
Autre sujet abordé lors de ce conseil communautaire : l’achat d’un terrain de 5 479 m² (à 11 euros HT le m²) situé dans une zone pouvant accueillir à la fois des activités économiques industrielles et artisanales. Cette acquisition permettra d’agrandir un territoire qui appartient déjà à la Communauté de Communes du Bassin de Marennes. L’idée étant de pouvoir disposer du foncier nécessaire pour réaliser une opération globale d’aménagement avec des activités économiques et un éventuel projet de déchetterie.
La déchetterie du Bournet est en effet condamnée à fermer, dans un délai qui n’est pas encore déterminé avec la volonté de créer une déchetterie qui sera plus ou moins ambitieuse selon le coût estimé de décontamination du site. Bournet.
Quant au futur projet d’aménagement, il sera situé face à l’actuelle zone d’activité économique Fief de Feusse II, et desservi par la route existante rue Fief de Feusse.
