Dimitri Rassam évoque son divorce avec Charlotte Casiraghi

Après six ans de relation et un enfant, prénommé Balthazar, Dimitri Rassam et Charlotte Casiraghi ont mis fin à leur union fin 2023. Un an après cette rupture, le fils de Carole Bouquet s’est ouvert sur ce sujet dans les colonnes du dernier numéro de Paris-Match. Lors de sa relation avec la fille de la princesse Caroline de Monaco, il a d’abord reconnu s’être très attaché à Raphaël, le fils qu’elle a eu avec Gad Elmaleh. “Raphaël est un enfant merveilleux, et j’espère rester dans sa vie”, confie Dimitri Rassam.

Concernant sa rupture avec Charlotte Casiraghi, le producteur français s’est exprimé en quelques mots : “J’ai perdu le contrôle”. Ses proches ont alors confié à Paris-Match que cette séparation était « douloureuse ». Elle l’aurait changé. “Il est plus attentif à son entourage, priorise mieux, sait mieux ce qu’il veut”, écrit l’hebdomadaire. « Avec l’âge, on change notre regard sur l’amour. Je ne crois plus à la fusion totale et permanente dans le couple”, ajoute Dimitri Rassam.

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“Les contes de fées n’existent pas”

Interrogé sur ses deux divorces, celui avec Charlotte Casiraghi et celui avec le mannequin Masha Novoselova en 2018, Dimitri Rassam dit ne pas vouloir les qualifier d’échecs. « On ne peut pas parler d’échec, quand on a vécu une histoire d’amour forte, et qu’on a des enfants merveilleux », partage le fils de Carole Bouquet et Jean-Pierre Rassam. « Mais nous sommes modifiés par ce que nous vivons, et le questionnement est vertueux. (…) On contrôle si peu. Vous devez l’accepter. Les contes de fées n’existent pas dans la réalité, mais il faut continuer à croire aux grandes histoires d’amour.

Conscient des hauts et des bas que traverse chaque mariage, Dimitri Rassam voit les choses avec philosophie. «Je peux remettre en question mes comportements, mais je ne ferais pas grand-chose différemment en termes de choix romantiques. Dans un couple, il faut arriver à préserver ce qui est beau, quoi qu’il arrive”, ajoute le producteur de Trois mousquetaires. Et de conclure : “Mon anxiété la plus forte n’est pas la peur de l’échec, c’est la peur de ne rien vivre.” Une tirade qu’on pouvait entendre dans la bouche de d’Artagnan.