Peu de temps avant de quitter ce monde, en 2009, le légendaire guitariste de studio Jean-Marie Benoît envoyait une lettre à Normand Brathwaite pour le féliciter de sa performance dans une émission télévisée où il avait accompagné un artiste en jouant de la guitare. ‘œuf. « Tu fais vraiment partie de nous maintenant », lui a-t-il écrit. « Du reste d’entre nous » comme dans : le cercle restreint des vrais vrais musiciens.
Épisode 2 : Normand Brathwaite
Normand Brathwaite a porté plusieurs casquettes, mais est avant tout musicien. L’animateur parle de son amour pour les percussions, de la place des femmes sur scène et de sa joie de jouer avec Gilles Valiquette. Il se confie également sur son rapport à la mort.
Trois citations de notre entretien
A propos de sa peur de décevoir
« Je n’aime pas rencontrer les gens, parce que j’ai toujours peur de les décevoir. L’autre fois, je suis entré dans un bar à Québec, c’était plein de jeunes machines qui jouaient du jazz et il y avait un silence, comme si j’étais quelqu’un, quand, en termes de performance, 1 à 10, les autres sont à 10, et J’en suis à 3 heures. Ça me fait toujours rire. Je rencontre des gens et il y a toujours une distance. »
About Mélissa Lavergne
« J’ai tellement vu les mains de Mélissa que lorsque je suis sur un spectacle et que je dois jouer d’un instrument à percussion, je pense toujours une seconde à l’endroit où iraient naturellement les mains de Mélissa. »
À propos de la place des femmes dans la musique
« Ma réticence était terrible. C’était l’époque des musiciens assis, avec des écouteurs, et souvent, sur la partition, il y avait un Playboy. […] Maintenant, quand je fais un show, je ne pense plus mec, blanc, fille, noir. Je pense juste à la bonne personne pour l’instrument. Et la plupart du temps, cela se traduit par un peu plus de filles que de garçons. »
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