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Dès demain, EDF Bazacle accueille l’artiste néerlandais Maurits Cornelis Escher à travers une centaine d’œuvres à la fois géométriques et oniriques.
Après la rétrospective Marilyn Monroe, l’espace EDF Bazacle change de braquet. Dès le vendredi 20 décembre, elle propose une nouvelle exposition événement jusqu’au 30 mars 2025 qui rassemble plus de 100 œuvres de l’artiste emblématique néerlandais. Maurits Cornelis Escher (1898-1972) est connu dans le monde entier pour ses croquis énigmatiques et ses dessins paradoxaux, exécutés avec un souci du détail et une précision mathématique pour créer et construire des mondes impossibles.
« Escher avait une intuition naturelle pour les dessins mathématiques et était fasciné par les motifs répétitifs de carreaux entrelacés et les représentations paradoxales de l’infini », explique Arthemisia, premier producteur italien d’expositions d’art qui propose cette exposition pour la première fois en France. Explorant l’intersection de l’art, des mathématiques, de la science et de la poésie, les œuvres d’Escher ont fasciné et émerveillé des générations d’artistes, d’architectes, de mathématiciens, de musiciens et de designers.
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Installations interactives
Artiste unique qui disait que « la merveille est le sel de la terre », Escher a élargi l’imagination et les perspectives de générations d’amateurs d’art à travers des œuvres dans lesquelles tout est lié : la science, la nature, la rigueur analytique et la beauté esthétique. A Toulouse, les œuvres sont accompagnées de lumières pédagogiques, de vidéos et de salles immersives. L’exposition comprend également des expériences scientifiques, des espaces interactifs et des ressources pédagogiques qui aideront les adultes et les enfants à comprendre les perspectives impossibles, les images troublantes et les mondes apparemment inconciliables qu’Escher a combinés pour créer sa dimension artistique.
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Chacun pourra tester l’« Installation Relativité » qui inverse la taille et l’échelle normales, l’« Installation Miroir » pour voir son propre reflet se répéter à l’infini, l’« Installation Optique » et l’« Impossible Selfie Station », inspirée d’une des œuvres d’Escher. œuvres les plus célèbres.
L’ensemble de son parcours artistique est présenté, de ses débuts jusqu’à ses voyages en Italie, en passant par les différentes techniques artistiques qui l’ont vu s’engager tout au long de sa vie.
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