Dès 13h15, le premier concurrent à lever les bras à Quarré-les-Tombes n’était autre que le favori du canicross, Romuald Garcia. Arrivé main dans la main avec Lucien Seguin l’an dernier en 32’53, le membre du YAC ES du Florentinois a cette fois bouclé la course à 100% avec un - amélioré de 23 secondes (32’30). Chez les dames, Romane Mignot (YAC ES du Florentinois) s’est imposée en se classant troisième du général en 37’47”.
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Milot et Treuchot intacts sur les 9 km.
Sur les 9 kilomètres, Pierre-Alexis Milot (AJA Marathon, 35’48”) faisait logiquement partie des favoris pour la victoire finale. Parti très vite dès les premiers hectomètres, il n’a laissé aucune échappatoire à la concurrence. “C’est ma première participation ici, je visais la victoire donc je suis très satisfait, j’ai bouclé le premier kilomètre en 2’41, je savais qu’il y avait des jeunes derrière et au kilomètre et demi ils ne le suivaient plus . trop, je l’ai fait à ma manière», raconte l’intéressé.
Chez les femmes, la victoire est revenue à Margot Treuchot (Semur Athlétisme, 45’32”) qui n’a finalement laissé aucune chance à ses adversaires également. « Je suis venu le découvrir, car je n’avais plus fait de trail depuis janvier 2018. C’est pour cela que je suis parti de l’arrière et que j’ai dépassé mes adversaires au fur et à mesure que j’avançais. C’est surtout en montant que j’ai fait la différence », explique-t-il.
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… Tout comme Guillaumot et Le Coquet sur le 20km
Partis très vite en compagnie des concurrents du 9km, Quentin Guillaumot (Athlé 21 AO Arnetoise) et Mathis Moine (AJA Triathlon) ont couru ensemble les 20km, jusqu’à ce que le vainqueur du jour fasse la différence pour finalement s’imposer en 1h 19’45”. « Avec Mathis (Moine), nous avons séparé les coureurs dans les 9km avant le carrefour. Nous l’avons fait dans la course à deux, en descente, nous avons poussé un peu et il est passé un peu dans le rouge et c’est à ce moment-là que j’ai creusé l’écart », a-t-il déclaré.
Pour Lélia Le Coquet, la victoire a tardé à venir, mais son expérience a finalement fait la différence. «J’ai souffert. Début de descente sur plus d’un kilomètre… Avant une grosse montée. Il m’a fallu cinq kilomètres pour récupérer. C’était horrible. Ensuite, j’ai réussi à me retrouver et à reprendre des forces. Mais la deuxième femelle s’est retournée contre moi. Et à ce moment-là, dans une longue montée, j’ai encore fracassé avant de finir en force. J’ai dû travailler dur», analyse le sociétaire de l’AJA Marathon, vainqueur en 1h 37’26».
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