Sur scène il déborde d’énergie, il danse, regarde le public, joue avec ses ordinateurs ou avec sa batterie électronique. Teda Ak est une identité artistique inventée et écrite à travers les esthétiques techno, rap, punk et queer. Jeune artiste nantais, il vient de terminer une résidence de trois jours au VIP où il a travaillé sur scène avec Christine de la compagnie Berthe, Solène de la production Pypo qui l’accompagne dans son projet artistique et bien évidemment l’équipe VIP.
Travail sur scène
Cette résidence s’inscrit dans le cadre d’un accompagnement baptisé Trame dans lequel quatre groupes de formation (Pamela, Manon Tanguy, etc.) du département sont accompagnés sur une durée assez longue, environ 18 mois, pour travailler sur différentes scènes et avec différents intervenants, son, scène. , la préparation d’un EP. Teda Ak avait déjà atteint la liste VIP il y a un an, et nous l’avons identifié
rappelle Stéphane Heuvelin, programmeur VIP. Un coup de cœur et l’envie de soutenir cet artiste émergent et un an plus tard Teda Ak est sur la scène nazairienne pour terminer une production d’un set d’environ 45 minutes. qui sera étendu à une heure cet été
précise l’artiste.
Fin d’un mythe
Teda Ak a construit un univers électronique autour de paroles qui évoquent les maux de notre société. Elle commence son spectacle en costume de Blanche-Neige, chantant après un doux début, C’est la fin d’un mythe, c’est la fin du Prince Charmant.”
en référence au procès Mazan. Il joue des chansons à un rythme frénétique, jetant des mots tels des rappeurs sur des sons électroniques qui invitent le public à bouger. Entre moments plus mélodiques, reprises d’émissions de radio, voix percussives et rythmes soutenus, tendance punk, Teda Ak, artiste en devenir, offre aux spectateurs un beau moment.
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