la magie du grand théâtre

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E travail exceptionnel d’excellent traduction d’André Markovicz et à l’intérieur lien éducatif avec les étudiants de ISSAT di Redon ainsi que l’impressionnante partie musicale de François Robinal voirCe cornemuses de la région nantaise.

Mac

Mac, le “fils de” en gaélique. Comme « mab » en breton. McDonald’s ? Non : MacBeth. Et là n’est même pas la question. Quant à Donald Duck, autre que l’éternel neveu perdant de Scrooge, il vaut peut-être mieux ne plus en parler désormais. “Beth», historiquement Bethad, et peut-être un Mode de vie gaélique.

Shakespeare

Shakespeare. Tout le monde en a au moins entendu parler dramaturge anglais Chi precede Molière un peu. Son pièces ils sont pourtant beaucoup plus imaginatifplein de rebondissements, dans lequel un unité d’histoire on vient juste de le trouverà la fin : quand tous les nœuds de « l’action » sont dénoués puis renoués. Pas de cadre comme le propose le théâtre classique français. Plutôt un délire verbal et scénique débordant. Hamlet avec ses hommes être ou ne pas être » est resté dans la mémoire. Tout comme Roméo et Julietteamants maudits. Macbeth est dans le doute lune de la autres le plus célèbre. C’est vraiment du théâtre aussi foisonnant que la vie.

Macbeth

Historiquement, penchons-nous sur Moyen-âgel’an 1000 et quelques. Del des royaumes pas encore « unis » qui s’opposent parfois. En Ecosse, version guerre de succession. Mais restons dans le conte de fée qui s’inspire de l’histoire.

E « Baron » écossais.Macbeth, invite le roi Duncan et le tue dans son sommeil. Ils sont femme avide de pouvoir IL pousse à la trahison. D’autres personnages, Banquo, Macduff, Malcolm, interviennent dans l’intrigue plus que nouée. Trois sorcières échoué prophétie dans Macbeth, au début puis à l’acte 4, cela n’arrivera pas pas tué par un homme né du corps d’une femme. Il y a le subterfuge. L’armée des arbres, que Tolkien aura sans doute ressuscitée avec l’Ent, bien après le Gallois Cad Goddeu de Taliesin, le fameux « combat des arbres » et enfin la mort de Macbeth au combat. Pour ça ? Reste à deviner.

Résonances celtiquesCertainement. Dans de nombreuses pièces de théâtre, comme Le Roi Lear, mais aussi Roméo et Juliette. Mais la pièce doit également être située dans un contexte historiqueau tournant du XVIIe siècle, moment de l’écriture, où le dynastie anglaise souffre luttes de pouvoir et échappe au célèbre”Conspiration de la poudre à canon» qui inspirera le personnage moderne de Guy Fawkes, emblème des Anonymous. Mélodrame des Pommes Sacrées : un véritable tissu fait de textes textiles. Mais cela reste tellement moderne.

Scène

Face à une pléthore de personnages, pleins de rebondissements typiques de l’auteur, aux destins contrastés, aux décors variés, le réalisateur David Gauchard aura choisi un cadre plus étroitpresque intime. Environnement sombre et peu de lumières. Avec coupe dans le texte résume très habilement les phases du drame. Peut-être à regretter les amateurs de moments symboliques hors-scène : les sorcières, les arbres, la mort… Pour donner le espace pour plus d’intimité.

Un autre choix de lumière, Veuze sur scène de François Robin aux anches de cette douce cornemuse nantaise. Un véritable incontournable !

Le total

Vendredi après-midi, un spectacle autour Les sonnets de Shakespeare sera présenté par Étudiants de Redon ISSAT.

À lire : Macbeth, traduit par André Markovicz, Actes Sud, ISBN 978-2742729784. Et l’édition bilingue d’Yves Bonnefoy, folio, ISBN 978-2070468492

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