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Voici quelques tendances culinaires à venir en 2025

A l’approche du mois de décembre, il est temps de regarder vers l’avenir et de jouer avec la boule de cristal : quelles seront les tendances culinaires de 2025 ?

Confirmées ou non, voici quelques spéculations sur les tendances alimentaires qui se glisseront sous nos yeux – et sous nos papilles – en 2025.

Attirer et fidéliser les clients

Menus à prix fixe après 21h, huîtres à 1 dollar de 17h à 19h, vins au verre le mercredi à 10 dollars, menu à prix raisonnables… Les restaurateurs regorgent d’initiatives non seulement pour remplir leurs salles, mais aussi pour les fidéliser. ses clients. Avec la flambée des prix alimentaires et une récession toujours imminente, les heures supplémentaires effectuées par les managers et les chefs sont plus que nécessaires pour maintenir leur compétitivité sur le marché, tout en gardant leur visibilité pour ne pas se faire oublier.

L’essai de gastronomie latine

Photo fournie par Cuisinomane

L’engouement pour la cuisine latine et la culture culinaire à Montréal et au Québec est indéniable : cette scène gagne non seulement en popularité, mais en reconnaissance. Elle ne se limite plus aux quartiers traditionnellement latins, mais s’étend désormais à toute la province, attirant ainsi une clientèle diversifiée et curieuse. On voit cette tendance d’une part dans la prolifération des bars, boulangeries, restaurants et épiceries spécialisées, et d’autre part dans le fait que les chefs latinos ne se contentent pas de reproduire des recettes traditionnelles, mais créent leur propre cuisine. fusionner leurs racines, leur formation professionnelle, ainsi que leurs valeurs ; incluant l’inclusion d’ingrédients locaux du Québec.

Un avenir meilleur pour le service en chambre


Photo fournie par Cuisinomane

La pandémie a provoqué une grave pénurie de main-d’œuvre dans le monde de la restauration. Face à ce fléau, plusieurs restaurants ont été contraints de recourir aux services de jeunes professionnels n’ayant pas forcément d’expérience en cuisine ou en service. Les clients, conscients de ce phénomène, ont fermé les yeux sur des expériences de service parfois maladroites, malgré les serveurs. Cette pénurie étant derrière nous, les serveurs professionnels ont déjà travaillé dur pour combler cette faiblesse. L’arrivée de Michelin a aussi pour effet de ne plus prendre de raccourcis en matière de formation et de recrutement.

Hamburger gourmand


Photo fournie par Cuisinomane

L’heure de gloire de smashburger c’est fini. Ceux qui sont là pour les bonnes raisons et excellent dans l’exécution resteront, mais les grandes villes ont atteint la saturation. Nous approchons désormais de l’ère du hamburger gourmet: elle figure désormais aux côtés des coupes de bœuf prestigieuses dans les cartes des restaurants haut de gamme et est traitée avec beaucoup de soin, à l’image de ces coupes dites « nobles ». Nous choisirons sa cuisson, milieu conseillé.

Flexitarisme : le bœuf, futur ingrédient noble


Photo fournie par Cuisinomane

Le prix du bœuf atteindra un nouveau sommet en 2025. Plusieurs chefs réduiront la présence du bœuf au menu, au point même de le supprimer complètement. On s’attend à davantage de volailles, de poissons et de légumes, confirmant ainsi la progression du flexitarisme. En 2025, et peut-être même dans les années suivantes, la viande bovine sera un ingrédient noble.

Curiosité culturelle


Photo fournie par Cuisinomane

Les gens ont un désir plus large de comprendre et d’apprécier la diversité culturelle à travers la nourriture, l’ouverture d’esprit et le respect des traditions alimentaires du monde entier. Compte tenu de l’augmentation des médias sociaux et du partage d’expériences, ainsi que de l’augmentation du nombre de chaînes internationales depuis l’étranger (de thé à bullesdumplings, tagliatelles, fondues fondueBBQ japonais ou coréen), les gens sont de plus en plus curieux du goût et souhaitent vivre un voyage culinaire authentique lors de leur séjour au Québec. Les Québécois aiment plus que jamais les textures et les saveurs exotiques !

Boire « sans alcool » au restaurant


Foto fornita da Tanière3

Jus pressés à froid, infusions, eaux aromatisées, kombucha, kéfir, kvas, tepache, amasake… Les mixologues doubleront – voire tripleront – leur sens de la créativité et leur connaissance des types de boissons fermentées pour réaliser un cocktail sans alcool intéressant et intéressant. des accords cocktails aussi excitants que des accords mets et vins. Entre les effets négatifs avérés de l’alcool sur la santé, les recommandations de santé publique et l’évolution des habitudes de vie, cette tendance est là pour perdurer. Plusieurs restaurants ont déjà entamé cette démarche, proposant une sélection de cocktails sans alcool ou une combinaison complète de préparations maison. Le restaurant gastronomique Tanière3 a été précurseur de cette tendance, puisque son barman Simon Faucher le propose depuis plusieurs années. Ce dernier a même remporté le titre de Mixologue de l’année lors du dernier gala des Lauriers. On peut savourer les inspirations, notamment celles de Sirop de beurre au jus de myrtille, acide citrique, sirop d’huile de pin et infusion de cubitus et racines d’aulne, « Forêt Noire » au sirop de cerise de Montmorency, essence de cerise et lait, ou encore une infusion d’épilobe au sumac et sirop de mélisse. L’accord sans alcool à l’Auberge Saint-Mathieu en Mauricie gagne également en popularité.

 
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