ENTRETIEN – L’auteur deOSS117 et de L’artiste consacré six ans à Le bien le plus précieux. Ce film d’animation très personnel sur la Shoah est une adaptation du conte de Jean-Claude Grumberg.
Dans les salons cosy d’un hôtel du 6e arrondissement de Paris, Michel Hazanavicius parle en toute décontraction de son nouveau long-métrage, Le bien le plus précieuxprésenté au Festival de Cannes en mai dernier, en compétition officielle.
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Très loin de sa filmographie précédente, ce film d’animation qui évoque la Shoah est l’adaptation d’un conte de Jean-Claude Grumberg. Il a fallu six ans au cinéaste pour mener à bien ce projet.
LE FIGARO. – Pourquoi avoir choisi l’animation pour adapter le conte de Jean-Claude Grumberg ?
MICHEL HAZANAVICIUS. – Avant de penser à l’animation, il s’agissait d’adapter une œuvre de Jean-Claude Grumberg que j’avais lu et que j’avais beaucoup aimé. Je ne l’aurais pas fait s’il m’avait été proposé en live action. Jean-Claude Grumberg était un ami de mes parents depuis l’âge de 15 ans. Il m’a vu naître. Il savait que je dessinais. C’était important pour lui d’avoir un réalisateur qui dessine.
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