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Agathe Lecaron n’est pas tombée amoureuse de son fils aîné à la naissance

Agathe Lecaron a osé le dire à voix haute dans son podcast « C’est sérieux ? quelque chose que beaucoup de mères vivent sans jamais le dire. Entre le bébé mythifié pendant la grossesse et celui que l’on découvre à la naissance, il y a parfois un petit écart.

L’animatrice de « La Maison des Maternelles » brise le tabou de la mère qui tombe immédiatement amoureuse de son nourrisson.

Médias de couverture

Agathe Lecaron a fait part de son étonnement face à la naissance de son fils.

L’animatrice de « La Maison des Maternelles » brise le tabou de la mère qui tombe immédiatement amoureuse de son nourrisson.

Dans son podcast « C’est sérieux ? elle a exposé ses réactions à la naissance de son premier fils, en 2014. Et ce n’était pas un coup de foudre.

“Je ne m’attendais pas du tout à cet enfant”, a-t-elle déclaré. « Gaspard est sorti avec les cuillères, le gars ressemblait à Donald Trump. J’attendais un petit bonhomme blond, il est brun avec la peau foncée… comme son père.

Cette fameuse complicité instantanée décrite dans les livres de puériculture, les films et de nombreuses mamans, Agathe Lecaron avoue ne pas l’avoir ressenti, et s’en inquiéter. “Quand j’ai eu Gaspard sur le ventre, je n’ai pas créé le lien tout de suite”, a-t-elle déclaré. J’avais le sentiment que ça n’allait pas durer. C’est très compliqué parce qu’on nous a tellement dit que d’un coup, nous allons découvrir l’amour ultime.

« Mais quel est cet amour ? Quand vais-je ressentir cette chose dont les gens m’ont parlé, cette vague ? se demande-t-elle.

Son invitée, la sage-femme Anna Roy, apporte une réponse rassurante. L’expérience d’Agathe Lecaron n’est pas exceptionnelle. Loin de là. « Les coups de foudre réciproques comme dans les films sont assez rares », dit-elle. « En fait, je n’ai pas vu cela chez beaucoup de femmes. Il n’est pas très courant de tomber amoureux au premier regard. Tout à fait normal.

Toutefois, si le lien n’est pas fait dans les semaines suivantes, vous devez consulter. «Je paniquerais au bout de quelques semaines, je ne laisserais pas ça s’éterniser», a conseillé Anne Roy.

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