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Trois bonnes raisons de se rendre au Festival européen du court-métrage de Brest du 12 au 17 novembre

2 Pour les films sur Brest

Cette année trois films sont consacrés à Brest, dans la catégorie Off programme. Le premier, « Malo fait un vélo » (durée : 18 minutes), a été réalisé par Yannick Muller. Julien, un jeune autiste, vit à Brest et peine à trouver l’amour sur les réseaux sociaux. Son frère Malo, coursier à vélo, tente de l’aider. Puis, un soir, il rencontre Mia… Un court métrage touchant, avec une touche d’humour, dans les rues et les bars de Brest.

Le second retrace le voyage de Jack Kerouac à Brest, à la recherche de ses racines, en 1965. Ainsi, dans « Jack Kerouac, une piste » (durée : 27 minutes), Gwendal Quistrebert retrace la vie de l’écrivain et poète américain, représenté par Philémon. Le Guyader, dans les décors d’une ville du Ponant en noir et blanc.

Enfin, le troisième, « Nino Lunaire » (durée : 29 minutes), de Manuel Billi, suit Nino, un jeune auteur, qui passe la soirée dans un bar de nuit à Brest, à la recherche d’une fin à son film d’amour, avec Rosa, barman. et Al, client. Brest se présente cette fois dans un style original, « flamboyant et kitsch ».

3 Pour les soirées festives

Après les films, il est temps de faire la fête. Différentes soirées sont organisées durant la semaine pour célébrer le cinéma autrement. La soirée karaoké organisée ce vendredi au cabaret Vauban affiche déjà complet, mais il reste encore des places pour le prochain Abbabal.

Dès 1h du matin, la scène Amicale Brestoise de la bonne fête ses dix mois d’existence avec une danse 100% Abba et cinq DJ. La veille, au bistro Quartz, un blind test cinéma gratuit est prévu Radio U.

Pratique

 
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