Michel Bussi, un Lovérien dans la dédicace à ses lecteurs

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Il s’agit d’un événement de dédicace traditionnel où Michele Bussi a été livré, entre 17h et 20h, le mercredi 6 novembre 2024 à la librairie du Quai des Mots. Michel Bussi, né à Louviers (Eure), auteur d’une vingtaine de romans dont trois adaptés en séries télévisées, mais également scénariste, s’est fait connaître rencontrer ses lecteurs à l’occasion de la sortie de son dernier thriller, Les Assassins de l’Aube (Editions Presse de la Cité). Ce dernier roman se déroule loin de la Normandie, l’action se déroule en Guadeloupe et commence avec le découverte de trois touristes assassinés…

Comme indiqué Stéphane Lemaîtredirecteur de la librairie du Quai des Mots, « Michel nous fait le plaisir chaque année, à l’occasion de chaque nouvelle parution, de venir animer une séance d’autographes et ce depuis la sortie, en 2008, de son roman Mourir sur la Seine».

“Le prochain roman sortira dans plus d’un an”

Le public a répondu par 80 personnes à la réunion. Tout l’après-midi, une file d’attente tranquille s’est formée devant le bureau de Michel Bussi. Carole, fan de l’auteur, est venue avec le dernier roman et s’est fait une promesse : « L’année prochaine je ferai comme les gens en face de moi, je prendrai tous les livres de Michel pour les faire dédicacer. »

En effet, Michel Bussi s’est retrouvé parfois avec des piles de livres à signer. Mais il a entrepris cet exercice avec bonne humeur, trouvant toujours un moment pour échanger avec ses lecteurs et s’offrant volontiers demandes de selfie.

Entre deux signatures, Michel Bussi nous parle de ses projets en cours : « Le le prochain roman sortira dans plus d’un an. J’ai aussi un série télévisée adaptation d’un de mes romans qui sortira en 2025 et d’une série basée sur un scénario original. »

Cet événement a également été l’occasion de faire le point sur la situation de la librairie de Louviers. « Comme toutes les librairies indépendantes, nous souffrons de la concurrence liée aux grandes plateformes internet, de la hausse générale des coûts mais aussi de la perte d’intérêt pour les centres historiques. Grâce à ce type d’événement, nous augmentons notre chiffre d’affaires et présentons notre offre à de nouveaux clients potentiels », confie Stéphane Lemaître.

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