Propriétaire de l’entreprise sherbrookoise Lachance Chasse et Pêche depuis 33 ans, M. Lachance a beaucoup contribué à propager la passion de la chasse et de la pêche en Estrie et au-delà. Retraité de son entreprise en 2019, il a continué à travailler dans le commerce de détail jusqu’au bout.
Simon St-Onge travaille aux côtés de Jean-Guy Lachance depuis près de 20 ans. D’abord dans son atelier, puis aux Gars de Bois Pronature où M. Lachance travaillait à temps partiel.
Il dit qu’il a d’abord eu un capodastre qui devint un ami, puis un membre de sa famille d’élection. Lorsque Simon St-Onge a appris que M. Lachance était de retour sur le marché du travail après la fermeture de Lachance Chasse et Pêche, il s’est joint à son équipe afin de pouvoir travailler à nouveau avec lui. Son approche des clients l’a inspiré. « Il a toujours traité tout le monde comme son ami. Les gens se souvenaient de lui, il en avait toujours scherzo pour les faire rire.
M. St-Onge affirme que Jean-Guy Lachance a perdu la vie « en vivant sa passion : il est mort en chassant ». A la Tribune n’a pas obtenu d’informations précises sur la cause de son décès. Même si chaque départ est difficile, Simon St-Onge croit que le souvenir que M. Lachance laissera à la communauté en tant qu’être humain et en tant qu’entrepreneur sera toujours positif.
Choqué par le départ d’un ami de longue date, le taxidermiste sherbrookois Martin Lacroix a entre les mains le dernier trophée de chasse de M. Lachance. « C’est un beau cerf de Virginie, il n’aura pas eu l’occasion de le voir. Je le terminerai pour l’hommage qui lui sera rendu”, a-t-il déclaré.
Martin Lacroix a rencontré Jean-Guy Lachance il y a 40 ans, alors qu’il chassait avec sa famille alors qu’il était adolescent. Il se souvient du moment où il a ouvert sa boutique, un lieu qu’il fréquentait régulièrement compte tenu de la passion qu’ils partageaient.
« Nous nous voyions si souvent que nous pouvions parler pendant des heures. » Selon M. Lacroix, Jean-Guy Lachance laisse une marque importante tant au cœur du milieu de la chasse et de la pêche que dans le monde des affaires. Il ajoute que sa passion était contagieuse, à tel point que ses clients pouvaient venir de loin pour interagir avec lui. Homme d’affaires, époux, père et grand-père, M. Lachance était pleinement engagé dans toutes les sphères de sa vie, selon M. Lacroix.
Ex editorialista della rubrica “Le courseur des bois” su A la TribuneLuc Larochelle, affirme qu’avec sa boutique, mais surtout avec ses soirées annuelles, Jean-Guy Lachance a popularisé le créneau de la chasse et de la pêche auprès d’une population beaucoup plus nombreuse que celle de l’Estrie. « Il organisait des soirées dansantes avec des concours. Il pouvait y avoir plus de 1000 personnes et, grâce aux codes postaux, on savait que parfois elles venaient de très loin. Il a transmis sa passion à des milliers d’Estriens, notamment des femmes. Pensez particulièrement à la perte d’un ami.
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