Jazz fidèle à Magali Berdah, Maeva Ghennam sort le sulfate

Maeva Ghennam en a beaucoup sur le cœur. Ce mercredi 9 octobre 2024, la Marseillaise de 27 ans s’est emparée de son compte Snapchat afin de pousser un énorme coup de gueule concernant les dernières affaires de son ancienne agent et amie, Magali Berdah.

Pour rappel, les deux femmes sont en guerre depuis plusieurs mois. La papesse des influenceurs a même pris la décision de porter plainte contre la candidate de télé-réalité en janvier dernier.

Elle accusait alors son protégé de « menaces de mort, incitation à la haine raciale, cyberharcèlement, chantage et violences psychologiques ».

“Elle me doit 500 000 euros”

De son côté, l’ex-compagne de Greg Yega assure que Magali Berdah lui doit de l’argent. “Elle me doit 500 000 euros, elle ne répond plus au téléphone. Ben oui je l’insulte, qu’est-ce qu’il y a ? (…) Voleuse, arnaqueuse (…) Elle n’est pas la papesse, elle est la traîtresse à l’influence», a-t-elle déclaré sur ses réseaux sociaux.

Apprendre que la fondatrice de Shauna Events se lançait dans de nouveaux projets, avec une application appelée BrightMe et l’expansion internationale de son agence, n’a fait qu’empirer la situation.

Désormais, Maeva Ghennam ne souhaite qu’une chose, que les affaires de sa rivale fonctionnent parfaitement pour qu’elle puisse se faire rembourser.

Du jazz dans le viseur de Maeva Ghennam

Si elle a du mal à comprendre les choix de Magali Berdah, la jolie brune semble encore plus perplexe face aux influenceurs qui continuent de suivre le partenaire de Stéphane Teboul. Jazz Correia de la JLC Family l’a également pris au sérieux…

Pour Maeva, «le monde des influenceurs est un monde d’hypocrites« . “Ils n’ont aucune dignité et pour de l’argent ils vendent leurs principes et leur dignité. je ne les aime pas», a-t-elle lancé sur ses réseaux.

Et de poursuivre : «Jazz, je ne veux plus rien avec elle. J’ai ouvert les yeux, je n’en peux plus. Vous pouvez dire ce que vous voulez de moi, mais l’argent n’achètera jamais mes principes, mes valeurs et encore moins ma dignité. J’ai aussi perdu beaucoup d’argent pour mes valeurs, mes principes et ma dignité et j’en suis fier. Je l’ai fait avec le cœur et je me souviens que c’est Dieu qui donne.« La personne concernée appréciera !