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Mathieu Mottier, le tenant du titre absent

A la tête de l’actuel Étrier d’Or avec cinquante-sept victoires (contre quarante-cinq pour Paul Ploquin), Mathieu Mottier suivra le Prix des Elites, dont il est le tenant du titre avec Je m’envolese tient. Déjà absent de la journée des Critériums qui a vu la victoire de son pensionnaire, Continue Dans la catégorie des 4 ans, le Mayennais est privé des « Élites » ce dimanche, bien que sous une semaine de suspension, du 24 au 1er septembre.est octobre, ce qui aurait dû l’autoriser à concourir dans le Groupe I.

Le 26 août à Vincennes, Mathieu Mottier, au sulky de Lissandra Jielprovoque deux faux départs dans la même épreuve, ce qui entraîne, selon le barème des sanctions, annexé aux conditions générales des programmes de courses, à quinze jours de suspension (du 9 au 23 septembre), le privant de rouler également dans les groupes I ( seules les sanctions inférieures ou égales à huit jours permettent une dispense en groupe). Or, le 18 août au Mont-Saint-Michel, il a provoqué un faux départ, qui entraîne la sanction suivante selon le barème : huit jours de suspension en cas de trois faux départs sur une période de soixante jours. En toute logique, Mathieu Mottier aurait donc dû pouvoir grimper Kyt Kat Dimanche, les deux sanctions, certes, s’additionnent, mais sont distinctes. Pourtant, Guillaume Maupas, rencontré récemment sur le sujet, explique : « Les sanctions découlent de la même infraction. De plus, cela représente trois semaines de suspension au total, il n’y a donc aucune exemption pour les groupes.

On peut raisonnablement trouver cette pilule très difficile à avaler, d’autant qu’aucun comportement dangereux n’a été signalé. Certes, il y a des règles strictes (ndlr, elles le seront sans doute encore plus après les difficultés rencontrées le 14 septembre lors de la journée des Critériums, comme lors du Prix des Ducs de Normandie), mais priver un jockey ou un pilote de participer à une classique pour une sanction supplémentaire, il y a là quelque chose d’injuste. Dans le cas d’un désagrément (concurrent disqualifié), mais qui affecte la régularité des courses, l’échelle des sanctions est beaucoup plus modérée (quatre jours, sans chute, et huit à quinze jours avec chute). Il y a certainement place à l’amélioration et à la recherche d’ajustements légitimes.

 
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