Biarritz fait le grand écart
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Biarritz fait le grand écart


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VIDÉOS – Il est temps d'aimer à Biarritz est un festival de danse pas comme les autres car, depuis 1990, il invite toutes les danses sur scène, sans aucune a priori.Une édition flamboyante.

Les fêtes Il est temps d'aimer danser Le Ballet de Biarritz* continue de cultiver sa différence, et c'est tant mieux. On y retrouve toutes les formes de danse, du folklore au contemporain, du classique au néoclassique. Le public apprécie cet éclectisme rare de nos jours – ce n'est pas très à la mode – et remplit les salles. Ce n'est plus étonnant car depuis son arrivée à Biarritz en 1998, Thierry Malandain a imprimé sa marque dans cette ville de seulement 24 000 habitants, dont la fréquentation explose à la belle saison. La réputation du ballet et de son festival fait aussi des envieux. Il rayonne jusqu'en Espagne et les aficionados affluent de San Sebastian ou de Bilbao.


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La première qualité de ce festival est le soin apporté à inviter des troupes de danse de toute la France, qui s’ignorent souvent. On salue les compagnies de Rennes, Metz, Avignon, Nantes, Tours et Marseille. Et de nombreuses petites pépites – sauf Marseille et La Horde, qui confondent malheureusement com et danse. On aurait d’ailleurs tort d’ignorer les très belles La Mégère apprivoisée de Jean-Christophe Maillot des Ballets de Monte-Carlo, qui clôturera le festival. Et que dire de la compagnie Vilcanota de Bruno Pradet ! Ce chorégraphe donne aux gestes tant d'intelligence, tant d'esprit et tant d'humour. On suivra la compagnie Dantzaz et ses danseurs tout-terrain, qui savent tout danser, même dans la rue. On se laissera envoûter par le danseur hors pair Robinson Cassarino. Vous l'avez compris : une quinzaine exceptionnelle.

Jusqu'au 16 septembre.

 
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