Mieux vaut tard que jamais : après avoir été accusée d’avoir “souillé” l’image d’Anne, escroquée par un faux Brad Pitt et dont la mésaventure a été présentée, dimanche 12 janvier 2025, dans un reportage dans le magazine Sept à huit (désormais supprimé de toutes ses plateformes TF1), le directeur éditorial du programme s’est défendu auprès du parisien.
A la victime affirmant que la production du magazine avait refusé de flouter son visage et celui de sa meilleure amie, Philippe Pecoul rétorque que cette demande n’a jamais été faite. Quant au fonds de soutien qu’Anne a lancé en ligne et dont, dit-elle, l’idée lui a été suggérée par la production, c’est “une idée qu’elle a eu elle-même”, assure-t-il. Des écrits en témoignent. »
Philippe Pecoul précise également parisien que le rapport de Sept à huit est basé sur des « faits [Anne] nous l’a dit elle-même, à partir des documents qu’elle a fournis, des témoignages de ses proches. Pour lui, ses équipes ont fait leur travail de journalistes.
En attendant un reportage sur M6
Enfin, celui qui est à la tête du magazine TF1 lancé en 2000 regrette la campagne de diffamation et le cyberharcèlement qui ont touché Anne : “C’est étonnant et consternant de voir comment elle est traitée sur les réseaux sociaux”, s’indigne-t-il.
Notre dossier « Arnaques »
Le Parisien souligne enfin que la victime des brouteurs nigérians compte poursuivre la médiatisation de sa mésaventure, puisqu’un sujet de l’émission La grande semaine (M6) lui sera dédiée le samedi 18 janvier 2025.