Le réalisateur Mourad El Khaoudi ne chôme pas. Il tourne actuellement son nouveau feuilleton « Jorh Kadim » ou « Vieilles blessures », qui devrait être diffusé sur la chaîne Al Aoula.
Après sa série télévisée à succès « 2 wjouh », drame social qui expose les deux facettes de la mendicité, l’infatigable Mourad El Khaoudi tourne actuellement « Jorh Kadim » ou « Vieilles blessures ». Une œuvre dont la diffusion est prévue sur la première chaîne Al Aoula. Produite par Image Factroy, cette série raconte une histoire dramatique fascinante abordant des questions sociales et humanitaires. À travers cette œuvre, le réalisateur cherche à présenter une histoire pleine de surprises, qui reflète une combinaison d’originalité et de créativité. Pour réaliser son film, le cinéaste s’est entouré d’un casting de renom. Il a fait appel à Nadia Ait, Abdessalam Bouhssini, Sahar Sediki, Yossiri Mourakchi, Hajar Kaânan, Rawiya, Majdouline Idrissi, Aziz Dadas, Abdellah Didane, Souad Khouyi et d’autres. Mourad El Khaoudi n’est plus à présenter. Il est un réalisateur et scénariste confirmé. Il fait partie des cinéastes ayant plusieurs œuvres cinématographiques à succès. Il a prouvé sa capacité à présenter des œuvres dramatiques qui imitent la réalité et reflètent d’importants enjeux sociaux. Par ailleurs, sa série « 2 Wjouh », diffusée lors de la dernière saison du Ramadan sur la deuxième chaîne, a connu un succès remarquable, attirant de nombreux téléspectateurs de tous âges. Il rassemble Aziz Dadas, Majdouline El Idrissi, Dounia Boutazot, Abdoulah Didane et Tariq Al Boukhari.
Sa filmographie comprend plusieurs œuvres télévisuelles telles que « Ila Dak Lhal », « Chouk El Ward », « Biya O la Bik », « Koulha Otriqo », « Qadiat Al Omr », « 12 Saa », « L’Ferdi », « Waadi », « Al Boaad Al Akhar » ou « Ahlam City ». Il a également plusieurs longs métrages comme « Al Chawt Al Tani », « Formatage », « Hayat Baria » et « Les Portes du Ciel ». Mourad El Khaoudi considère que le scénario joue un rôle important dans la réussite d’un film. « Le cinéma marocain évolue de plus en plus en termes de technique et d’outils mais ce qui manque, c’est le contenu. Il faut avoir de bons scénarios”, a-t-il expliqué à ALM.
