Julien Courbet a été contraint de quitter un magasin Lacoste à Paris, qui refusait de tolérer la présence de sa chienne Simone.
« Viré du magasin @Lacoste Ternes parce que j’étais avec #simonelechien. Je ne conteste pas, c’est leur droit, le mien, c’est d’aller acheter ailleurs. C’est dommage d’avoir un animal comme emblème et de le refuser”, écrivait-il sur X/Twitter le 4 janvier, en référence au symbole en forme de crocodile de la marque.
Le post de l’animateur de 59 ans a naturellement généré des commentaires. Certains le soutiennent, mais aussi d’autres remettent en question son point de vue et soulèvent d’éventuels problèmes que peut causer la présence d’animaux dans les magasins.
“Je comprends que cela puisse choquer, mais en même temps, si tout le monde venait dans les magasins avec ses animaux, ce serait quand même vraiment dégoûtant”, a écrit un internaute. Ce à quoi Julien Courbet a répondu : « C’est un bon argument, peut-être qu’on pourrait attendre dehors à tour de rôle. Un seul animal à la fois dans le magasin, est-ce que cela pourrait être une solution ?
Peu de temps après, sous le commentaire d’un autre internaute évoquant des personnes qui ont peur des chiens, l’animateur se révélait même encore plus sympathique : “Vous avez tout à fait raison, dès que je vois que quelqu’un a peur, je sors du magasin. Hier encore, à la pharmacie, j’ai vu une dame entrer (et) elle a vu Simone. J’ai vu qu’elle avait peur, je lui ai dit que c’était moi qui sortais Madame, et j’ai attendu qu’elle sorte pour revenir.
En tant que spécialiste de la télévision dans la résolution des conflits d’intérêts, Julien pouvait-il se permettre d’être autre chose que conciliant ?
