LE Cent vues d’Edo d’Hiroshige, la grande vague par Hokusai… Habituellement, les expositions d’estampes japonaises se concentrent davantage sur les grands artistes duukiyo-emouvement dePériode Edo (1603-1868) qui constitue l’âge d’or de cet art. Mais les merveilleuses gravures sur bois du pays du Soleil Levant sont loin d’avoir disparu au XIXe siècle.e siècle !
Durant les années 1920-1930, la ville de Tokyo se modernise, ce qui pousse les artistes, qui continuent de représenter ces paysages urbainspour transformer leur style. Une métamorphose fascinante et documentée, Maison de la culture japonaisecette exposition bénéficie de prêts du musée d’Edo-Tokyo, fermé pour rénovation.
Deux types d’imprimés en contraste
Au début du 20e siècle, deux nouveaux types d’estampes apparaissent au Japon. D’une part, le shin-hanga perpétue le système traditionnel fabricationukiyo-e impliquant un dessinateur, un graveur, un imprimeur et un éditeur. Florissant entre 1915 et les années 1950, ce mouvement incarné par le talentueux Kawase Hasui (1883-1957) donne naissance à des images mêlant finesse du détail, sujets traditionnels et éléments de la vie moderne représenté de manière réaliste.
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