Alors qu’il vient d’annoncer son intention de participer au Vendée Globe 2028 avec un bateau, fait de bois, de bambou et de chanvre, Marc Thiercelin reste discret sur les bords de la Méditerranée où il réside…. L’ancien concurrent adore aujourd’hui flirter avec la philosophie. Un nouveau livre rassemble ses meilleures pensées.
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Pendant que d’autres naviguent et traversent seuls le cap de Bonne-Espérance pour le Vendée Globe 2024, il publie un livre de conversations : «La mer est l’un des derniers espaces de liberté. Explorer ses limites, c’est aussi explorer sa capacité d’adaptation (…) Se dépasser permet de renouer avec l’essence même du progrès humainIl fut l’un des Petits Princes de la course à pied dans les années 90, mais Marc Thiercelin est désormais entré dans une période plus philosophique de sa vie, où il met sur papier les émotions qu’il ressent. Il a parcouru le monde, plusieurs fois… La mer, les étendues vides à perte de vue, même Marc Thiercelin, le navigateur, connaît le silence, il n’a pas complètement raccroché. est allé à sa rencontre près de Toulon.
Marc Thiercelin a une idée en tête, un rêve à réaliser : revenir sur le Vendée Globe en 2028, date de la future « prochaine » édition. Son annonce choc a fait le tour des réseaux sociaux ces derniers jours.
Lui qui n’a jamais remporté le Vendée Globe, mais qui est arrivé deuxième en 1996, parle de l’eau dans ce livre écrit avec Alexia Belleville, “Le navigateur philosophique”. “Marc a cette capacité à raconter des histoires. Et en partant en mer il rapporte des choses incroyables», explique Isabelle Belleville. Découvrons “comment, parti de rien, étant un enfant asthmatique et sans argent, il en est arrivé là.“
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Découvrez quelques lignes de ses pensées. A 64 ans, le marin s’apprête à repartir.
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©France Télévisions
Amoureux de Marseille, Marc Thiercelin aurait aimé travailler à son développement. “50% de la population a moins de 30 ans. Ce chiffre est fou pour un homme politique. Cette ville pourrait devenir un formidable laboratoire, un creuset d’idées et d’actions.» il l’explique également dans ce livre, The Philosophical Navigator.
