Dans cet ouvrage publié aux Editions Leduc, Ayem Nour se confie sur sa vie privée, et notamment son combat pour la garde de son fils, Ayvin, que l’homme d’affaires Vincent Miclet, son ex-mari et père d’enfant, était bien décidé à récupérer. « Il voulait la garde même si Ayvin et moi vivions ensemble depuis toujours. Être séparé de mon fils était inimaginable et totalement injustifié », peut-on lire au début du livre.
L’ancienne star de Secret Story confie alors que « depuis des mois il me propose un deal. Je résiste », même si, avoue-t-elle, ce contrat est « tentant ». Ayem Nour révèle que son ex-mari lui a offert « une maison pour notre fils et moi, service digne d’une famille royale, pension alimentaire à quatre chiffres ». Mais à une condition. Vincent Miclet souhaite que « j’établisse ma résidence au Maroc et que j’accepte de modifier les modalités du droit de visite et d’hébergement pour mettre en place une garde alternée », explique-t-elle.
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Un arrangement qui ne semble pas lui convenir. « Pourtant, ce n’est pas mon pays : si je le connais pour y avoir passé des vacances, je ne sais pas si nous aimerons y vivre, et surtout, si Ayvin et moi saurons nous adapter à ce nouveau mode de vie » . Autre couac, ses contraintes professionnelles de chroniqueuse dans une émission de télévision. « Le projet me semble compliqué. Mais comme V ne manque pas de moyens, il propose de payer tous mes allers-retours en tant que professionnels, tout en précisant noir sur blanc que ce serait « éco ».
Ayem Nour aurait finalement donné son accord de principe. « Je vais vous essayer. Ce n’est ni oui ni non. Ajoutez noir sur blanc à cet accord, que, pour un an, et que nous ferons le point à la fin de l’année scolaire de notre fils”, aurait-elle répondu à son ex-mari.