“Cet enfant a une telle emprise sur moi”

“Cet enfant a une telle emprise sur moi”
“Cet enfant a une telle emprise sur moi”

En octobre 2020, Shy’m crée la surprise générale avec la sortie de son album intitulé « Boy ». Le premier single du disque, au titre éponyme, révélait dans ses paroles une heureuse et belle nouvelle. Dès la première strophe, le vers « La vie est en moi » n’a pas gardé longtemps le mystère de la première grossesse de la chanteuse.

A cette époque en couple avec l’acteur Tanel Dérard, Shy’m a donné naissance le 22 janvier 2021 à un petit garçon prénommé Tahoma. Après quatre ans de vie commune, les deux parents ont annoncé leur séparation en août 2022. Avec son fils, la jeune maman a créé un lien très fort sur lequel elle s’est confiée dans le dernier numéro de Paris Match, en kiosque ce jeudi 31 octobre.

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Shy’m à Blanche, un club de sport parisien. Sur son cou, le seul bijou est le prénom de son fils de 3 ans et demi, Tahoma, qu’elle a tatoué à l’envers pour pouvoir le lire en se regardant dans le miroir. 11 octobre 2024.

© © VincentCapman

Aux côtés de la petite Tahoma, Shy’m a beaucoup appris sur elle-même : « Je sais que cela va paraître anodin, mais je ne m’attendais pas à ce que cette enfant ait une telle emprise sur moi. Je savais bien sûr que cela prendrait énormément de place, mais je me suis rendu compte que j’étais beaucoup plus anxieux qu’avant. »

Ces « angoisses » sont devenues son quotidien : « En tant que mère, quand je pense à tous les dangers qui attendent mon enfant, l’angoisse est devenue incommensurable. La moindre tristesse ou frustration devient une chose énorme. Je découvre aussi que je suis beaucoup moins patient que je ne le pensais. »

« Les humains ne sont pas faits pour donner une éducation parfaite »

Concilier carrière d’artiste et rôle de mère est devenu un véritable défi pour Shy’m, soucieuse d’apporter le meilleur à son fils : « Ça prend du temps, un enfant. Surtout les premières années, durant lesquelles la demande est constante. Et nous réalisons que les humains ne sont pas faits pour dispenser une éducation parfaite. On n’a pas toujours le bon ton, le bon dialogue, la bonne pédagogie. En conséquence, nous nous sentons constamment coupables. Être parent est un processus d’apprentissage tout au long de la vie. »

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Lors de l’entretien, Shy’m a raconté une anecdote touchante : « L’autre jour, je me brossais les dents avec mon fils à proximité. Nous sommes tous les deux face au miroir et, je vais tout vous dire, j’ai une brosse à dents électrique dont j’ai l’habitude de retirer la brosse pour la rincer. Mon fils en a un aussi, mais pour les plus petits. Et je constate du coin de l’œil qu’il reproduit absolument tous mes gestes à l’identique et en même temps – même si je ne lui ai jamais expliqué quoi faire. Cela me confirme que tout ce que nous disons ou faisons, bon ou mauvais, l’enfant l’enregistre et le reproduit. C’est le reflet le plus fidèle de soi-même que l’on puisse avoir. Le parent est l’exemple. Autant dire qu’il ne faut pas le manquer. »

Échanger la bouteille contre le microphone ?

Lorsqu’on lui a demandé quand elle reviendrait sur scène, Shy’a avoué rencontrer quelques difficultés pour concrétiser ses futurs projets : “Je travaille sur un nouvel album, mais le rythme est lent car je m’occupe de mon fils et j’ai du mal à déléguer”. . » Bien que tout soit aidée par une nounou, la chanteuse souhaite néanmoins être là le plus possible pour son fils : « Je fais en sorte d’emmener mon fils à l’école, d’aller le chercher. Et comme je l’ai aux trois quarts… »

Depuis un mois, Shy’m a repris une routine sportive très intense. Lors de ses séances, lorsque son petit garçon est avec elle, la concentration n’est pas facile à trouver : « Soit il grimpe sur mon dos, soit il m’imite, soit il crie : « Maman ! Maman ! Pouvez-vous m’aider à dessiner ? » Ou peut-être qu’il est à l’école et que c’est le meilleur moment. »

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Shy’m à Blanche, club sportif parisien, le 11 octobre 2024.

© Vincent Capman/Paris Match

 
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