“Matrimoine Inventory”, de Coralie Grimand, suit une jeune fille qui revient au domicile familial pour aider ses parents âgés

“Matrimoine Inventory”, de Coralie Grimand, suit une jeune fille qui revient au domicile familial pour aider ses parents âgés
“Matrimoine Inventory”, de Coralie Grimand, suit une jeune fille qui revient au domicile familial pour aider ses parents âgés

Publié le 11 octobre 2024 à 00h27.

« Patrimoine » plutôt que patrimoine. Ce nouveau mot, dont le sens saute aux yeux, connote ce roman qui décrit le déclin d’un couple d’octogénaires dans leur maison familiale, notamment celle d’Edwige, atteinte d’une maladie neurologique finalement diagnostiquée comme Parkinson. Leur fille Anne en fait la chronique, non sans colère, non sans remords.

Le roman concentre le temps de ces vies dans la maison familiale de campagne, qui résume et symbolise ses habitants comme une maison miroir. Conçu pour une famille avec deux enfants, il devient excessif pour deux octogénaires retraités. Et pourquoi « patrimoine » ? Sans doute parce que le père, Daniel, l’a construit en 1981 pour que sa femme y trouve la maison de ses rêves. Fabriqué à son image et équipé selon ses exigences.

Découvrez et soutenez « Le Temps » avec un abonnement d’un an à -50%


Vente Flash : -50% sur les abonnements digitaux !

Un an d’informations fiables à moitié prix. Offre valable jusqu’au 15 octobre 2024.

je m’abonne

Bonnes raisons de s’abonner au Temps :
  • Accès illimité à tout le contenu disponible sur le site.
  • Accès illimité à tous les contenus disponibles sur l’application mobile
  • Plan de partage de 5 articles par mois
  • Consultation de la version numérique du journal à partir de 22h la veille
  • Accès aux suppléments et à T, le magazine Temps, au format e-paper
  • Accès à un ensemble d’avantages exclusifs réservés aux abonnés

Déjà abonné ?
Se connecter

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV les tableaux et livres d’artistes de Claire Illouz sont à découvrir à la médiathèque La Sabline
NEXT Hélène Rollès, des « Mystères de l’Amour » aux « Hospices de l’Amour » ?