Dans son nouveau livre IntemporelL’animatrice Marie-Claude Savard partage son parcours personnel, de l’enfance dysfonctionnelle à l’acceptation de soi. Un témoignage puissant qui invite à la réflexion sur l’importance d’un dialogue intérieur positif.
« J’étais une petite fille abandonnée à 5 ans », confiait-elle à Isabelle Maréchal en entrevue à la radio QUB au 99,5 FM Montréal. Cette blessure d’abandon a marqué sa vie jusqu’à l’âge de 39 ans, influençant ses choix personnels et professionnels, dit-elle.
L’animatrice révèle comment cette insécurité se manifestait physiquement. « Le mal de dos, le grincement des dents, le stress constant, l’anxiété, les épaules relevées, ce genre de posture insécuritaire que je portais comme ça tous les jours », a-t-elle souligné.
Sa carrière dans les médias, notamment comme journaliste sportive, a été influencée par ce besoin de plaire et d’accepter tous les défis. « J’étais prête à tout, et je ne me suis jamais demandé ce qui était bon ou pas pour moi », avoue-t-elle.
Dialogue intérieur
Un tournant majeur dans sa vie a été l’adoption d’un discours intérieur positif. « Le jour où je me suis regardée dans le miroir et que je me suis dit : “Je ne te laisserai plus jamais tomber”, cela m’a libérée de beaucoup de choses », a-t-elle déclaré.
Marie-Claude Savard insiste sur l’importance de ce dialogue. « Votre dialogue intérieur, lorsque vous vous regardez dans le miroir, si vous êtes capable de le désamorcer, cela va changer les choses », dit-elle.
Vieillir en toute sérénité
À 52 ans, l’animatrice a une vision positive de l’âge. « C’est un privilège de vieillir », dit-elle, tout en reconnaissant les défis, notamment l’âgisme, dans la société québécoise.
Elle appelle à plus de compassion envers soi-même. « La paix viendra, je le jure qu’elle viendra », déclare-t-elle.
Intemporel, de Marie-Claude Savard, sera en vente en librairie dès jeudi.
*Ce texte, généré à l’aide de l’intelligence artificielle, a été revu et validé par notre équipe sur la base d’un entretien réalisé à la QUB.
