Ok c’est un peu tôt, mais c’est définitivement un article à mettre dans ses favoris pour l’été ! Après les JO, on nous avait promis qu’on pourrait nager sans souffrir dans la Seine en 2025, et pour Paris intra-muros, trois sites sont déjà connus : unu Bras Marie (opposite the Île de la Cité), at Bercy (at the foot of the Simone-de-Beauvoir footbridge), and in the west at the Bras de Grenelle (between the port and Île aux Cygnes) , tout cela encadré par des bouées, des pontons, des douches et des sauveteurs.
32 emplacements potentiels
Mais comme il y a bien plus dans la vie que Paris, nous avons dressé cette liste pour vous. des dizaines d’autres lieux de baignade à visiter sur les bords de Seine et de Marne cet été dans toute la région. C’est un rapport de l’Apur (l’atelier parisien d’urbanisme) datant d’avril 2024 qui sert de base avec au total 32 implantations potentielles. Sur la Seine, 20 sites sont à l’étude, dont le glacis des Halles à Ivry, la plage du Thorez sur l’Ile-Saint-Denis, le parc interministériel des sports de Choisy, le quai Adolphe-Giquel à Rueil-Malmaison ou encore l’étang des Noues de Seine. à Viry-Châtillon.
Etude des services de l’Etat
Côté Marne, on peut d’ores et déjà annoncer que les sites de Maisons-Alfort, plage du Banc-de-Sable à Joinville et plage de Saint-Maur seront accessibles. Reste à savoir si la plage de Montaigne du Perreux, l’ancien moulin de Chelles ou la promenade Yvette-Horner à Nogent les rejoindront.
Avant d’être validés, les sites de baignade doivent être étudiés par les services de l’État, qui surveillent les aspects techniques et surtout sanitaires de chaque projet. Pour rappel, le plan de baignade autour de la Seine a nécessité un investissement de 1,4 milliard d’euros sur les dix dernières années. Le splash coûte cher.