Stanley Vollant dans une liste de personnes très influentes

C’est avec « étonnement, surprise et grande fierté » que Stanley Vollant, originaire de la communauté innue de Pessamit et médecin-conseil à la Commission de la santé et des services sociaux des Premières Nations du Québec et du Labrador (CSSSPNQL), a décroché le 57^e figurer parmi les 100 personnes les plus influentes du magazine Nouvelles.

: “Continuez votre bon travail, nous l’apprécions et nous le reconnaissons””, “texte”: “Pour tout le travail que j’ai accompli au fil des années, mon travail est reconnu et je le prends un peu comme une tape dans le dos l’épaule : « Continuez votre bon travail, nous l’apprécions et nous le reconnaissons » »}} »>Pour tout le travail que j’ai accompli au fil des années, mon travail est reconnu et je le prends un peu comme une tape sur l’épaule : « Continuez votre bon travail, nous l’apprécions et nous le reconnaissons »il témoigne.

C’est très agréable pour moi de voir que j’ai cet impact, que je suis écouté, que je peux influencer les gens. C’est un peu mon objectif en tant que médecin autochtone, en tant qu’Autochtone, de faire connaître les figures autochtones et d’amener les gens à collaborer, à nous reconnaître, puis à faire un bout de chemin ensemble.

Selon lui, il se retrouve dans cette liste parce queil tend la main aux gens. Le médecin-conseil ajoute qu’il apporte des solutions tout en proposant des idées qui ne sont pas polarisantes. Je dénonce les situations, mais je trouve toujours des solutions.

Stanley, 13 ans, n’en aurait pas cru un mot

Le médecin-conseil souligne que Stanley, 13 ans, n’aurait jamais pensé qu’il ferait partie de cette liste. des années n’auraient jamais imaginé qu’il puisse influencer quelqu’un, juste une seule personne. Pour influencer des milliers de personnes à la fois et assumer ce rôle public que j’assume actuellement, je n’ai jamais, jamais, jamais pensé que j’y serais.”, “texte”: “Pantoute, en québécois, du tout!” Le Stanley Vollant qui avait 12, 13 ans n’aurait jamais imaginé pouvoir influencer quelqu’un, juste une personne. Pour influencer des milliers de personnes à la fois et pour assumer ce rôle public que j’ai maintenant, je n’ai jamais, jamais pensé que je serais ici. “}}”>Pantoute, en québécois, pas du tout ! Le Stanley Vollant qui avait 12, 13 ans n’aurait jamais imaginé pouvoir influencer quelqu’un, juste une personne. Pour influencer des milliers de personnes à la fois et assumer ce rôle public que j’ai maintenant, je n’aurais jamais pensé que je serais ici.

Il explique que lorsqu’il était enfant, il aurait également été inimaginable pour lui de voir un autochtone sur une telle liste. il y a quelques années, il y avait beaucoup de racisme. Les autochtones étaient mal vus.”, “texte” : “Quand j’avais 13 ans, il y avait beaucoup de racisme. Les autochtones étaient mal vus. »}} »>Quand j’avais 13 ans, il y avait beaucoup de racisme. Les Autochtones étaient mal vus.

Je ne pensais pas que les peuples autochtones pourraient avoir la voix qu’ils ont aujourd’hui.

Sa plus grande fierté

Stanley Vollant a longtemps été chirurgien avant de se lancer dans la santé publique. C’est l’une de ses plus grandes fiertés de l’année dernière.

J’ai ressenti le devoir de redonner à mon peuple, à mes sœurs et frères, en m’impliquant dans les problèmes que mes sœurs et frères peuvent vivre.

J’aimerais que les gens se souviennent de moi comme de quelqu’un qui possède beaucoup d’expérience, de compétences et d’expertise dans de nombreux domaines, qui sait identifier les problèmes et qui sait également établir des solutions collaboratives. Et je pense que les mots « collaboration » et « coopération » sont pour moi très, très importants et très chers.confie Stanley Vollant.

Il considère également ses 35 années consacrées au travail de chirurgien comme un grand accomplissement au cours duquel il a pu sauver des vies Et prouver qu’un Autochtone peut être un excellent chirurgien.

J’ai réussi à convaincre mes patients et mes travailleurs de la santé que les Autochtones peuvent être égaux et peut-être meilleurs.

Il se réjouit de voir de plus en plus d’Autochtones rayonner partout au Québec, même s’il constate qu’il y a encore du chemin à parcourir.