Par
Corinne Gaultes
Publié sur
26 janvier 2025 à 8h04
Maud Fauvel consacre un attachement viscéral à The Hôtel de Grandval-Calignya Valognes.
Aujourd’hui, les années quarante ont toutes les raisons d’afficher le sourire franche qu’elle a presque toujours accrochée au visage.
En décembre 2024, le Fonds de dotation qu’elle a créé en 2016 a acquis la partie de la propriété conjointe qui (il) manquait d’avoir la jouissance complète et complète de tout le bâtiment, entre la cour et le jardin.
Quoi d’ouvrir des perspectives…
Un hôte nommé Barbey
Grand-Val-Caligny, dont les premiers éléments architecturaux remontent au XVIIe siècle, est entré dans ma famille en 1912. Mes arrière-grands-parents l’ont acquis directement de M. Pierre Le Maréchal, alors propriétaire. Pourquoi cet achat? Je ne sais pas précisément. Mon arrière-grand-père était de Saint-Sauvant-le-Vicomte… tout comme Jules Barbey d’Aurevilly. Il est peut-être nécessaire d’y voir un début d’explication.
The Hôtel Hôtel de la Rue des Réns nuns had indeed had De 1872 à 1887, un locataire célèbre en la personne de l’écrivain.
L’auteur de DiaboliqueAurait dit, a apporté les dernières clés à ses nouveaux sulfurus dans cette noble maison où il a loué une partie de l’année quatre pièces au premier étage.
«Il avait une chambre et une salle à manger ainsi qu’une cuisine avec sa cuisine arrière. Il a également eu le plaisir du couloir qui a conduit au jardin qu’il appréciait beaucoup », spécifie Maud Fauvel.
Barbey avait également son cercle de serviette à l’Auberge d’à côté, The Grand Hôtel du Louvre…
Grand-lieu, c’était le port d’accueil!
C’est ce souvenir qu’elle veut en particulier maintenir le BEC et les ongles, et pendant très longtemps. Même si cela signifie être appelé un doux rêve.
Même si je ne vivais pas en permanence au cours de mes jeunes années, j’ai passé mon enfance ici à Grand-Val. C’était le port d’accueil! C’est dans les années 75/77 que mes grands-parents ont ouvert la maison au public pour la mémoire de Barbey. Dans les années 90, vers l’âge de 10 ans, je me souviens très bien que j’étais (déjà) les visites moi-même. J’ai adoré!
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Brigitte Bardot
À la mort de sa grand-mère, en 1998, sa mère et sa tante ont hérité des biens dont ils partagent les pièces.
«À ce moment-là, je devais intégrer le fait que je ne pouvais plus marcher partout, comme quand j’étais une petite fille…», dit la valognaise.
Depuis la disparition de sa mère, en 2019, elle a été en possession conjointe avec sa tante. Qui prévoyait de vendre votre part.
«J’ai ensuite eu l’idée de ce fonds de dotation, avec l’espoir de pouvoir acheter cette célèbre partie un jour. Je voulais à tout prix empêcher Grand-Val d’entrer entre les mains des promoteurs, qu’il est définitivement fermé au public. »»
La signature devant un notaire à la fin de 2024 est donc la marque «d’un point culminant».
«Cela a eu lieu dans l’apaisement, je suis très reconnaissant. Je ne cesserai jamais de remercier ces centaines de personnes qui, par leur participation, ont contribué à rassembler les finances nécessaires », apprécie l’historien de la formation.
Parmi les soutiens, même symbolique, Maud Fauvel mentionne Brigitte Bardot avec lequel elle partage la défense des animaux: «Il y a deux ou trois ans, j’ai reçu une lettre d’elle indiquant qu’elle n’avait pas d’argent pour m’aider (car elle a tout mis dans sa fondation), mais qu’elle a accepté d’être La marraine du cœur de (mon) beau projet «…
“L’esprit de la maison”
Mais le chemin, le gardien de l’âme de l’Hôtel de Grand-Val-Cligny le sait, est encore long.
L’acquisition de cette partie de la possession conjointe est un point culminant, bien sûr, mais aussi une étape. Dans les années à venir, nous rembourserons ceux qui nous ont prêté de l’argent. Et puis, en attendant de mettre en place un fichier pour les œuvres majeures (de la mission Bern, par exemple), nous pensons que nous organisons des chantiers de construction pour des tâches de peinture plus modestes, l’entretien du jardin, etc. Nous avons toujours besoin de soutien!
Un programme d’animation riche et varié est déjà formé. «Mais je veux que nous restions dans quelque chose de sympathique, à l’idée d’un endroit ouvert à tout le monde. C’est l’esprit de la maison! »»
Un riche programme de divertissement jusqu’en septembre
-Samedi 8 février (20 h): Dans Aperçu, montrez “Fréhel, Diva des Abones” par le groupe Impasse des Virtues (ce spectacle sera ensuite donné au Théâtre de l’Arlequin, dans Cherbourg, 14, 15 h (20 h h. 30) et 16 février (16h30)).
-Dimanche 9 février (16 h): Conférence sur Dante «L’inventeur» de la langue italienne, par Julien Sapori.
-Dimanche 9 mars (16 h): Conférence sur Manzoni et la langue italienne par Julien Sapori.
– Dimanche 5 avril (16 h): «Influences possibles de la langue normande dans la langue italienne» de Rémi Pézeroul.
– Samedi 12 avril (de 14 h à 18 h: Les Normands Société des Writers organiseront une foire de livre autour des animaux. les jardins.
– Dans la nuit du 17 au 18 mai: Grand-Val-Cligny aura sa façade illuminée pour les «pierres légères». 18 mai (16 h) Conférence d’Ingrid se dérange sur «les 220 années de la création par Napoléon de la Légion d’honneur des maisons d’éducation».
– Du 7 au 9 juin (week-end de la Pentecôte): les interventions seront effectuées sur le thème «justice de la police», avec en outre une petite exposition rétro sur la gendarmerie des années 1950.
De plus, Maud Fauvel a l’intention d’ouvrir le manoir tout au long de l’été pour des visites guidées.
En septembre, il y aura la richesse traditionnelle des jours du patrimoine avec deux conférences, l’une de P. Simon – Bouet sur les citations de Barbey d’Aurevilly (19 septembre, 18h30), l’autre d’E. sur les Amérindiens (20 septembre, 21 h).
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