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Noël et ses amis survivants des camps d’horreur

À Montpellier en 1944, Noël Vincensini, Jeanne Breton, Josette Peyre, Paulette Bertholio puis jeune résistant, ont été expulsés à Ravensbruck. Le sort incroyable de quatre héroïnes de guerre.

Avec leurs sourires charmants, leurs plis, leurs jupes ajustées et leurs chemisiers boutonnés, rien ne les distingue des autres jeunes filles. Jeanne, Josette, Paulette sont des élèves de l’école normale de Montpellier tandis que Noëlle est toujours un lycéen à Clémenceau.

Ces quatre amis ont un secret commun: ils font partie de la résistance: les trois premiers pour l’armée secrète; Noël pour FTP. Dans les rues de Montpellier, ils distribuent des tracts et des marchandises de transport.

Elle livre des armes dans le maquis

Noëlle sometimes even delivers weapons in the Cévenol maquis, in Narbonne and Nîmes. «Un jour, quand elle avait 16 ans, elle a pris le train avec une valise dans laquelle les armes étaient cachées. Comme elle était lourde, une SS l’a aidée à installer ses bagages dans le wagon »dit à sa fille Elsa Chabrol.

Avec son groupe de combattants de résistance, ils sont habitués à se retrouver près des arches. Ce printemps 1944, tandis que trente, unis à toute discrétion, ils ont été arrêtés par la Gestapo. Ses amis sont soumis au même sort dans une villa Quartier des Aubes. Noëlle doit être condamné à mort.

La tante de Noëlle, Pétainiste, avec qui elle vit (!) Et qui l’a expulsée lorsqu’elle a découvert ses activités, va toujours voir la police et leur explique que sa nièce est la plus jeune du groupe, qu’elle ne le fait pas ‘ Je sais ce qu’elle fait et nous devons la libérer.

Les prisonniers quittent également une telle condamnation à mort d’une si jeune fille. Noël est torturé. Devant son corps mutilé, le soldat SS lance: «Rien à voir avec l’enfant. C’est dur “.

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Une boîte de sucres qui changera tout

Il échappe à l’exécution mais est expulsé vers Ravensbruck. Jeté dans un chariot de bétail, sa destination vers l’horreur de Ravensbruck dure trois jours et quatre nuits. Après des mois de terreur, de faim et de froid, au printemps, Noël et ses amis échappent à la marche de la mort. Les quatre adolescentes qui ne sont rien de plus que des figures émaciées et des visages émaciés parviennent à s’échapper dans une ferme abandonnée. Une boîte de sucres lancée par une chronique allemande leur a donné la force de fuir dans leur désespoir.

Un an plus tard, Noël, Josette, Jeanne et Paulette sont retournés à Montpellier. Leur sourire a disparu de leurs visages et leur corps ne sont que des blessures. Tous les quatre sont silencieux cet épisode tragique de leur existence. «Ma mère n’a rien dit pendant des décennies parce qu’elle avait peur qu’elle ne soit pas crue. Elle pensait que personne ne pouvait comprendre ce qui lui était arrivé »RACKETAL COël Spoutin Winners.

Elle attendra d’avoir 70 ans pour parler

À l’âge de 70 ans, elle a finalement réussi à mettre des mots sur l’indicible et à écrire un morceau de sucre, un livre dans lequel elle raconte ce passé douloureux «Duty de mémoire». Jeanne Bonton et Josette Peyre ont également fait une histoire de leur vie de résistants et de déportés lors d’un certain voyage. Des témoignages précieux qui disent l’inhumanité mais aussi le courage de ce jeune Montpellier pour la liberté.

Noëlle a continué à mener une vie combattre. Mariée à l’écrivain Cévenol Jean-Pierre Chabrol puis a divorcé, elle s’est battue pour l’anti-racisme, contre la fraude électorale en Corse, son île natale, a créé la première radio libre en … sa fille raconte: «Elle a toujours été préoccupée par l’autre, elle a toujours été très attachée à la justice sociale». Aujourd’hui, à 108 ans, le combattant ne peut plus agir, mais elle a définitivement changé d’héroïne. Tout comme Jeanne, Josette et Paulette.

Le Morceau est. 13 euros. «Lors d’un voyage, au port de soi.

La Sétoise Suzanne Pic

Pic Suzanne, 17 ans: Ravensbrück, numéro 43155; Rasag -leipzig Matricule 4046. Suzanne a été expulsée à l’âge de 17 ans. Elle est née à Sère et c’est à Macon (où son père, contrôleur des impôts, a été transféré) qu’elle s’est engagée dans une résistance aux côtés de sa mère et de son frère. Le 21 mai 1944, elle a été arrêtée, en dénonciation, avec sa mère et une amie de son frère, et interne dans la citadelle de Perpignan où elle a subi un interrogatoire violent. Elle est ensuite expulsée à Ravensbrück. Par la suite, il est affecté à des travaux forcés dans un Kommando de Rasag-Leipzig, une usine d’armes qui dépend du camp de Buchenwald. Dans la nuit du 13 avril 1945, le SS a vidé le camp en raison de la progression des troupes alliées et elle a subi les marches de la mort. Le 18 mai 1945, elle a été libérée avec sa mère. Elle n’a que 18 ans et a une tuberculose osseuse. Elle se marie et devient Suzanne Orts. Elle est décédée le 21 février 2018 à Aix-en-Provence.

 
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