Les enfants heureux de partager des ateliers avec l’équipe texane sur le parquet de l’Accor Arena, les oursons guimauve offerts par la « Spurs House » au sein de la NBA House ou encore la foule impressionnante de journalistes réunis pour observer pendant trente minutes les entraînements de chaque franchise… Le choix est vaste pour raconter la veille d’un NBA Paris Game. Alors comme le dit le proverbe, commençons par le début.
Mercredi 22 janvier, 11h30 : le couloir de Bercy situé à côté de la salle de presse – paraissant plus étroit que l’an dernier – qui mène au terrain est rempli de journalistes. Tout le monde patiente dans un brouhaha qui donne des sueurs froides à l’organisation en attendant le feu vert pour venir assister aux dernières minutes de l’entraînement des San Antonio Spurs. Une seule consigne donnée par la NBA : rester en dehors du terrain. Pas de problème, nous n’avions pas prévu de mettre le pied dans la raquette pour tenter de contrer Wembanyama en pleine action.
Une fois les portes ouvertes, tous les médias se positionnent au bord du terrain, derrière les sièges du premier rang. Les caméras sont installées, les téléphones et caméras déjà dessinés. Heureusement, les Spurs pratiquent un jeu tout-terrain. Pour voir Wemby au travail, il y en a pour tous les goûts, ou plutôt leur angle de vue. Et c’est ce cirque médiatique autour d’un seul acteur, entamé dès son arrivée à Paris lundi, qui éblouit le plus.
Cela se confirmera deux heures plus tard, lorsque les Pacers prendront le relais sur le parquet de l’Accor Arena. Les journalistes seront toujours là, mais il y aura – disons – un peu plus d’espace pour respirer. Pourtant, voir Tyrese Haliburton, Pascal Siakam ou encore Myles Turner en séance de tir après avoir terminé leur échauffement avec un Libéré du désir dans la musique d’ambiance, ça valait aussi le détour.
-Sénégal
Related News :