Les Espagnols sont impitoyables envers le Real Madrid. Ils n’ont pas oublié Wojciech Szczęsny

Ce match restera sans aucun doute dans l’histoire. Jusqu’à sept buts lors du Clasico, plus le carton rouge de Wojciech Szczęsny et un concert de Raphinia. Barcelone a gagné 5-2 et a quitté l’Arabie Saoudite avec son premier trophée cette saison.

“Ancelotti peut remercier Szczęsny de l’avoir sauvé d’une défaite historique”, écrit “Marca”. Le journal fait référence au fait que seul le carton rouge du Polonais a stoppé les tentatives de Barcelone de marquer plus de buts, donc cela s’est terminé avec « seulement » cinq buts.

« Qu’est-ce qui chez Flick fait qu’Ancelotti s’évanouit quand il le voit ? L’Italien a donné le terrain et le ballon à son adversaire. Pendant qu’une équipe mordait l’herbe, l’autre regardait. Le projet de Madrid était incompréhensible. Soit Ancelotti s’est mal expliqué, soit les joueurs n’ont pas prêté attention. Et voici le résultat : un pogrom qui provoque beaucoup de destructions et mène à la renaissance », lit-on dans « Marka ».

Bien sûr, c’est Barcelone qui a reçu par-dessus tout de grands éloges.

“C’était Barcelone complète”

“C’était un Barça complet, capable de contrôler le rythme du match quand cela était nécessaire, de ne pas faiblir après le premier but du Real, de jouer en contre-attaque et, en plus, les trois attaquants ont marqué. En jouant ainsi, cette équipe peut tout réaliser », écrit un commentateur de « Sport ».

“Le Superchampion Barcelone choque Madrid”, écrit “Mundo Deportivo” en titre.

« Le Barça est arrivé en Arabie Saoudite dans une atmosphère tendue, en attendant l’inscription d’Olmo et Pau Víctor, mais repartira non seulement avec des joueurs réinscrits dans l’équipe, mais aussi en tant que super champions d’Espagne. (…) Ce titre pourrait marquer un tournant dans la seconde partie de saison » – lit-on plus loin.

À son tour, « AS » attire l’attention sur les circonstances dans lesquelles le Barça a obtenu ce succès. Il s’agit du chaos organisationnel et financier auquel elle doit faire face.

« Cette Barcelone a ses avantages, elle est capable d’aller dans le sens inverse de la folie de son président et du gâchis politique et administratif (…). Le Barça a battu le Real Madrid, qui avait une défense inefficace et une attaque faible.