Arielle Dombasle, qui partage avec Tom Leeb (récemment invité dans Sur scène avec) l’affiche du téléfilm Le livreur de Noëlà découvrir ce mercredi soir sur France 2 à partir de 21h10, avait décidé il y a plusieurs années, après avoir divorcé en 1985 de son premier mariage avec un mari dit “invisible» (Paul Albou), pour écrire un nouveau chapitre de l’histoire de sa vie avec Bernard-Henri Lévy, à qui elle a dit oui le 19 juin 1993 à Saint-Paul-de-Vence sur la Côte d’Azur. En septembre 2023 pour En passant, programme diffusé tous les soirs de la semaine sur Canal+elle est revenue sur sa rencontre avec l’intellectuel de 76 ans (qui est, pour rappel, connu comme écrivain, philosophe, cinéaste, homme d’affaires et chroniqueur).
“Je sais que tu as vu ton futur mari voir son visage dans le livre Une barbarie à visage humain. Tu as vu en lui le visage du Christ», a d’abord indiqué Nathalie Lévy, avant de donner la parole au principal intéressé : « Oui, ce fut le coup de foudre (…) J’ai vu quelque chose de sombre, comme de la cendre dans les yeux. Quelque chose d’extraordinairement romantique et mélancolique. Je me suis dit : “mais bien sûr, c’est l’homme”. J’ai été fait pour lui.“
Arielle Dombasle profite de ses anciennes conquêtes
C’était donc une évidence pour Arielle Dombasle. Aujourd’hui, son histoire d’amour avec BHL fascine toujours. Mais rappelons tout de même qu’avant de conquérir le cœur de l’intellectuel français aux cheveux en bataille, l’actrice a eu une vie amoureuse bien remplie. Outre son premier mariage avec le dentiste Paul Albou, déjà évoqué précédemment, elle a également connu des amours adolescentes tumultueuses au Mexique. En tout cas, c’est ce qu’elle a dit dans les pages de Paris-Match l’année dernière: “J’étais ce qu’ils appellent malheureusement une taquinerie. Avec les Mexicains, j’ai frôlé la catastrophe !“
Pour en revenir à son histoire avec Bernard-Henri Lévy, elle s’est toujours déroulée sans enfants. D’ailleurs, Arielle Dombasle n’hésite pas à se confier librement dans les médias sur son envie de non-maternité. “Je n’ai jamais voulu être mère. C’est un luxe immense qui confère force, originalité et liberté… Mais prive de l’harmonie, de l’enveloppement de la famille.», a-t-elle déjà expliqué à nos confrères de Marie-France.
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