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L’avocate de formation, en charge du volet héritage du comité d’organisation des Jeux, a succédé à Gil Avérous le 24 décembre. Sa mission sera de capitaliser sur l’héritage des Jeux et de gérer le dossier brûlant des Jeux olympiques d’hiver de 2030 dans les Alpes françaises. .
Parmi les fantômes, elle fait partie des rares inconnues du nouveau gouvernement de François Bayrou. A 51 ans, Marie Barsacq va découvrir la politique en prenant la tête d’un ministère des Sports, de la Jeunesse et de la Vie associative. Si le grand public n’a jamais entendu parler d’elle, c’est moins le cas au sein du mouvement sportif. Elle l’a elle-même souligné ce mardi 24 décembre lors de son discours à l’occasion de la passation du pouvoir avec Gil Avérous, son éphémère prédécesseur au poste : « J’ai passé toute ma carrière dans le monde du sport, animé par un mantra : le sport change des vies ou le sport peut tout changer. »
Une déclaration concise et convenue, qui en dit encore trop peu sur cet avocat de formation, qui a travaillé auprès des institutions sportives françaises les plus reconnues. Dix ans au Comité national olympique et sportif français, avant d’occuper le poste de directeur général adjoint en charge du football amateur à la Fédération française de football (FFF). Deux superbes cartes à mettre en valeur sur votre CV.
« Elle connaît le sport comme peu de gens »
Mais le principal atout de Marie Barsacq est ailleurs. Depuis 2016, elle était directe
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