un KSW « Classique » entre deux frères d’armes pour le plus grand affrontement franco-français depuis la légalisation du MMA

Le Parisien Salahdine Parnasse (19-2) met en jeu sa ceinture KSW -70kilos face au Marseillais Wilson Varela (12-5), ce vendredi 20 décembre à Paris La Défense Arena (en direct sur RMC Sport 1). Dans la plus grande salle d’Europe, les deux combattants français, amis de longue date, offriront au public le plus gros choc 100% français depuis la légalisation du MMA sur le sol français.

C’est Noël en avance pour les fans de MMA. Ce vendredi 20 décembre, le Parisien Salahdine Parnasse et le Marseillais Wilson Varela offriront au public français bien plus qu’un combat aux saveurs de « Classique ».

Dans la salle bouillante de Paris La Défense Arena, outre le titre KSW -70kg, détenu par Parnasse et qui sera en jeu, les deux hommes livreront un combat 100% français, le plus important de la jeune histoire de la discipline. . Jamais auparavant une ceinture d’une organisation du calibre de la KSW, la plus importante d’Europe, n’avait été disputée par deux Français.

Un choc d’autant plus particulier pour les deux combattants, amis de longue date et tous deux sous la houlette de l’expérimenté manager Stéphane « Atch » Chaufournier. Alors pour incarner, dans la cage, l’une des plus grandes rivalités sportives du pays, « le Classique » Paris-Marseille, la tâche est loin d’être simple pour ces deux anciens partenaires d’entraînement.

Objectif braquage à Paris pour Varela

Face à Parnasse, la plus grande star de l’organisation, double champion des -66kg et -70kg, le Marseillais Varela devra créer la surprise en terrain hostile, au cœur de la capitale française. Combattant polyvalent qui a débuté son aventure martiale par le grappling, Varela a acquis une réputation de puncheur avec trois victoires par KO en quatre succès dans l’organisation polonaise.

Mais il devra affronter un Salahdine Parnasse déterminé, roi incontesté de sa catégorie. « Un combat reste un combat… Il n’y a pas de fraternité dans ce sport », a sèchement livré le Parisien à son challenger lors de la conférence de presse d’avant-combat. Il faut dire que le pensionnaire de l’Académie Atch a tout à perdre devant son public, un royaume construit brique par brique, année après année.