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« Ne fais pas ci, ne fais pas cela » est de retour après quatre ans d’absence

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Quatre ans plus tard, les enfants ont grandi et sont partis vivre leur propre vie. Mais ils restent attentifs à leurs parents déprimés par les nids vides. Pour éviter que leur quotidien ne se transforme en routine ou ne sombre dans la déprime, ils leur réservent une surprise. Ils les ont inscrits à un concours pour… aller sur la Lune ! Et imaginez qu’ils aient été sélectionnés par l’Agence spatiale européenne pour la mission en question. Voici donc les Bouley et les Lepic prêts à s’envoyer en orbite dans le but d’être les premiers civils à fouler le sol lunaire.

L’Agence spatiale européenne impliquée

Diffusée sur 2 ce mercredi soir, cette deuxième série spéciale de Ne fais pas ci, ne fais pas ça peut paraître un peu « olé olé » avec cette histoire de conquête de l’espace. Il n’en reste pas moins que l’équipe de production n’a pas pris les choses à la légère. L’Agence spatiale européenne, la vraie !, a été impliquée dans l’écriture du scénario mais aussi lors du tournage. L’ESA a conseillé les acteurs, notamment pour leur expliquer comment se déplacer dans un vaisseau spatial et comment gérer l’apesanteur. Un gage de sérieux dans ce qui est proposé.

Guillaume de Tonquédec, from Molière to Monsieur Lepic

Un véritable astronaute a même été détaché pour apporter son expertise. Il s’agit du Français Jean-François Clervoy, 33 ans d’expérience et trois missions spatiales à son actif. Deux à bord de la navette spatiale Atlantis, un avec Discovery. Au total, il a passé 28 jours dans l’espace.

Des images ont également été tournées dans la véritable salle de contrôle des vols spatiaux de l’ESA !

Un pari risqué

La décision d’envoyer Lepic et Bouley dans les stars risque de déstabiliser plus d’un fan. En effet, on est loin du concept original de la série qui mettait en scène deux familles aux modes de vie diamétralement opposés. Guillaume de Tonquédec justifie cependant le choix de ce scénario surprenant. À Indiqueril déclare : «Nous avons déjà presque tout fait et la barre était très haute, alors pourquoi risquer de décevoir ? C’est un petit risque à chaque fois, on n’a que des coups à prendre. Nous n’aurions pas accepté s’il n’y avait pas eu une bonne idée initiale.. Il ajoute : «Le public est ouvert et veut être surpris..

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Un pari risqué donc, d’autant plus qu’il s’agit d’un double épisode, mais il permet de retrouver nos bobos et bourgeois préférés qui restent toujours aussi attachants.

 
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