Rachida Dati, Bruno Retailleau… Ces politiques qu’il consulte en secret

Comme révélé Le Figarole 12 décembre, Louis Sarkozy rencontrerait des hommes politiques de renom, en toute discrétion, espérant peut-être débuter officiellement sa carrière politique, en s’inspirant de ceux qui ont été ministres.

Ayant grandi et étudié aux États-Unis, aux côtés de sa mère Cécilia Attias après son divorce avec son père Nicolas Sarkozy, Louis a récemment fait son grand retour en France. L’homme de 27 ans est devenu essayiste et a publié en mai dernier un livre sur l’œuvre de Napoléon. Passionné d’histoire, l’ex-compagnon de Capucine Anav multiplie les apparitions sur les plateaux de télévision, pour donner son avis et dévoiler son intérêt pour la politique. Et visiblement, ses ambitions montent en puissance, laissant penser qu’il pourrait se lancer officiellement comme candidat à l’avenir, notamment aux élections municipales de 2026.

Le 12 décembre, Le Figaro mettre en lumière la carrière française de Louis Sarkozy, qui semble prêt à succéder à son père. Et ce qui le suggère, ce sont les nombreuses rencontres qu’il accumule avec d’autres personnalités politiques bien établies. En effet, il aurait vu Rachida Dati, ministre de la Culture démissionner, mais aussi Sébastien Lecornu, ancien ministre des Armées. Plus tôt, en octobre, le fils de Cécilia Attias aurait également eu un entretien avec l’ancien Premier ministre censuré, Michel Barnier, pour un café à Matignon, ainsi qu’un rendez-vous avec Bruno Le Maire rue de Miromesnil. C’est Nicolas Sarkozy qui aurait été à l’origine de cette rencontre en invitant son fils il y a quelques semaines.

Son admiration à peine dissimulée pour Retailleau

Enfin, le frère de Jean, Pierre et Giulia s’est également rendu à deux reprises au ministère de l’Intérieur, pour voir Bruno Retailleau, qu’il appréciait et avec qui il aimerait discuter des élections américaines. Visiblement admiratif de l’homme politique, Louis Sarkozy se plairait aussi à suivre de près le mouvement au sein des Républicains, qu’il considère comme sa « famille politique », ayant des opinions bien arrêtées, notamment sur Éric Ciotti et son alliance avec le RN. Et pour ceux qui lui reprochent d’être un “fils de”, il les remet à leur place, bien décidé à briller pour lui-même et restant conscient de ses privilèges, puisqu’il ne pourra échapper aux critiques lui rappelant qu’il est un “fils de”. népobaby ».

Article rédigé avec la collaboration de 6Medias