La politicienne du GLP a perdu son emploi après que des coups de feu ont été tirés sur une représentation de la Mère de Dieu et de l’enfant Jésus dans un catalogue publicitaire. Une amende pourrait désormais suivre.
etc. En septembre, le politicien zurichois du GLP a pris plusieurs photos d’une photo montrant la Mère de Dieu et l’Enfant Jésus dans un catalogue d’art. Ameti a publié une photo de l’écran perforé sur la plateforme Instagram. Cela a déclenché une tempête de merde qui a duré des semaines. En conséquence, Ameti a perdu son emploi dans une agence de publicité et des membres connus de son parti ont appelé à sa démission.
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Comme le parquet zurichois l’a confirmé à la NZZ, il a ouvert en octobre une procédure pénale contre Ameti, soupçonné d’avoir porté atteinte à la liberté de croyance et de culte. CH-Media en a parlé pour la première fois. Les violations de « l’article sur le blasphème » concerné entraîneront une amende une fois la procédure juridiquement conclue. Comme le rapporte le parquet, Ameti est présumée innocente.
Ces derniers mois, Ameti s’est largement retirée de la scène publique. Elle souhaite revenir au conseil municipal de Zurich ce mercredi. Le « Sonntags Blick » a été le premier média à en parler.
La semaine dernière, Ameti avait déjà évoqué dans les journaux CH-Media le scandale qu’elle avait provoqué avec ses clichés. Ameti a déclaré qu’elle était fatiguée et surmenée pendant cette période. Le tir sportif est pour elle un équilibre dans de tels moments. Elle entra donc dans la cave de tir et, sans réfléchir, sortit des vieux papiers un catalogue publicitaire de la maison de vente aux enchères Koller. C’était une erreur grossière et stupide, a poursuivi Ameti.
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