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la crainte d’une entrée contre nature aux Jeux Olympiques

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Lors de la demi-finale féminine du sprint de ski-alpinisme aux Jeux Olympiques de la Jeunesse d’hiver à Lausanne (Suisse), le 13 janvier 2020. Photo diffusée par le Comité International Olympique. Joël Marklund / AFP

C’est une saison particulière qui s’ouvre, samedi 14 décembre, à Courchevel (Savoie) à l’occasion de la première étape de la Coupe du monde de ski-alpinisme, la version compétition du ski de randonnée. Encore confidentielle, cette discipline – alternant montées vigoureuses en « peaux de phoque » (ou à pied avec skis sur le dos) et descentes – verra ses athlètes se disputer de précieuses places olympiques durant l’hiver. En 2026, le ski-alpinisme sera en effet intégré comme sport supplémentaire aux Jeux Olympiques de Milan-Cortina d’Ampezzo, en Italie, et sera donc inscrit pour la première fois au programme des Jeux olympiques d’hiver.

Malgré ce nouveau statut, les amateurs de ce sport s’interrogent sur le bien-fondé de cette entrée aux JO. La faute aux formats choisis par le Comité international olympique (CIO). L’épreuve principale de l’individuel, une course vallonnée d’environ une heure quinze en pleine montagne, a été laissée de côté, tout comme la montée sèche propre à l’épreuve. course verticale. Les deux spécialités retenues, un sprint de deux à trois minutes et son relais mixte, se dérouleront au pied de la piste du Stelvio à Bormio, sur un parcours d’obstacles identique à celui du reste de l’année. L’idée ? Simplifiez la logistique et privilégiez un spectacle dynamique pour de meilleurs résultats télé.

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