Le Paris FC dominé à Lorient à la pause

Un choc passionnant… et un score qui aurait pu être bien plus important pour les locaux. Le FC Lorient reçoit actuellement le Paris FC lors du choc de la seizième journée de Ligue 2. Une rencontre qui voit le club breton mener par la plus petite des marges et être ainsi, pour l’instant, seul leader du championnat.

Le PFC devra montrer un tout autre visage en seconde

Le Paris FC va cependant immédiatement mettre le pied sur le ballon. Dès la quatrième minute de jeu, le club de la capitale se rapprochera des derniers mètres de l’équipe adverse. Jean-Philippe Krasso transmet à Adama Camara plein axe, qui tente du gauche dans la surface de réparation de Lorient. C’était dans les gants d’Yvon Mvogo, qui a bien réagi. Dans la foulée, Krasso va tenter sa chance sous un angle serré. Il passe juste à côté de la lucarne. Le FC Lorient va alors commencer à sortir de ses derniers mètres… et ouvrira le score dès la onzième minute de jeu. Igor Silva récupère le ballon dans sa moitié de terrain avant de lancer la contre-attaque des Merlus. Laurent Abergel lance Aiyegun Tosin dans la surface. Le Béninois, latéral droit, centre fort devant la cage. Julien Ponceau a bien suivi et a poussé le ballon au fond des filets. quelle contre-attaque des locaux !

Les hommes d’Olivier Pantaloni, désormais seuls leaders de l’antichambre de l’élite française, semblent bien meilleurs dans ce choc tout en haut de tableau. A la 23ème minute de jeu, le buteur subtilise le ballon dans le rond central et entame une nouvelle contre-attaque. Tosin centre fort au sol mais est bloqué par la défense parisienne. Panos Katséris arrive et tente du pied droit. Ceci est également contré. Le Paris FC est à l’agonie à chaque incursion bretonne. A la demi-heure de jeu, les Franciliens ont failli encaisser le but du break. Après un coup franc excentré, le PFC sera mangé sur le contre. Tosin se présente devant Obed Nkambadio mais décide de tenter au premier poteau. Le duel est remporté par le gardien de l’équipe de France Espoir, qui sort son équipe en vie. Le rythme va, au cours des dernières minutes, baisser. Les Merlus mènent logiquement sur leur pelouse.