L’ancien attaquant de l’OM devenu conseiller sportif et institutionnel du club phocéen Fabrizio Ravanelli dit vivre sa nouvelle mission auprès du président Pablo Longoria comme un rêve. Ambitieux pour l’équipe de Roberto De Zerbi, l’Italien nourrit un souhait un peu particulier pour la fin de saison.
Un OM à l’accent très italien. Avec Roberto De Zerbi sur le banc depuis le début de la saison, l’équipe olympienne bénéficie de la grinta et de la science du jeu de l’ancien coach de Sassuolo. Mais « RDZ » n’est pas le seul Marseillais à parler italien à l’OM. En tribunes, aux côtés de Pablo Longoria et Medhi Benatia, Fabrizio Ravanelli tente également de ramener son ancien club (1997-2000) au sommet de la Ligue 1. En juillet, l’ancien de l’OM et de la Juve a été nommé conseiller sportif et institutionnel auprès de le club olympien.
Restant proche du terrain, il met à profit sa solide expérience du haut niveau pour épauler Roberto De Zerbi : « J’ai dit à Roberto : ‘Marseille est ta ville maintenant.’ Mais j’insiste pour qu’il reste lui-même, pour être admiré, il ne faut pas qu’il change”, confiait-il à La Tribune ce dimanche avant le déplacement de l’OM à Saint-Etienne.
« Que tout le stade chante le nom de notre président à la fin de la saison »
Fabrizio Ravanelli conseille également Pablo Longoria : « Au président, j’ai murmuré : ‘Dieu vous a donné un cerveau, vous devez l’utiliser pour écrire l’Histoire.’ » Et l’ancien international italien a révélé : « J’ai un objectif secret : avoir le stade tout entier chantant le nom de notre président à la fin de la saison.
Cela passera forcément par une qualification de l’Olympique de Marseille pour la Ligue des Champions. En attendant, et malgré un ultime succès obtenu dimanche dernier face à Monaco (2-1), le public du stade Vélodrome s’est souvent montré sans pitié avec son équipe. Il y a à peine un mois, de nombreux spectateurs sortaient même de l’enceinte marseillaise à la mi-- après 45 minutes catastrophiques contre Auxerre (3-0 à la pause). Il y a donc encore du travail à faire avant que le souhait de Fabrizio Ravanelli ne se réalise.
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