Par Le Figaro avec AFP
Publié
il y a 3 heures,
mis à jour à 15h22
Le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Michel Barrot, venait d’annoncer que le Premier ministre israélien bénéficierait en France des « immunités des États non parties à la CPI », ce qui est le cas pour Israël.
La responsable des écologistes Marine Tondelier l’a décrit comme “honte” je«immunité » dont bénéficie le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu en France malgré un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) le visant.
« La France se plie une fois de plus aux exigences de Benjamin Netanyahu en le choisissant plutôt que la justice internationale »a-t-elle dénoncé mercredi sur X, alors que le ministère français des Affaires étrangères venait d’annoncer que le Premier ministre israélien bénéficierait en France de « immunités des États non parties à la CPI »ce qui est le cas d’Israël, prévu par le droit international.
« Ne s’agit-il pas plutôt d’« impunité » ?
« C’est sûrement le « deal » que la France a cité dans l’annonce officielle du cessez-le-feu au Liban publiée hier conjointement par la France et les Etats-Unis. »» a ajouté Marine Tondelier. « Ne s’agit-il pas plutôt d’« impunité » ?asked the coordinator of La France insoumise Manuel Bompard.
Le Premier ministre israélien bénéficie d’un “immunité” OMS “doit être pris en considération” malgré le mandat d’arrêt émis contre lui par la Cour pénale internationale, a indiqué mercredi le Quai d’Orsay. Dans un communiqué, le ministère invoque les obligations prévues par le droit international liées à « immunités des États non parties à la CPI »ce qui est le cas d’Israël. Il ajoute que “Ces immunités s’appliquent au Premier ministre Netanyahu et aux autres ministres concernés” par un mandat d’arrêt du tribunal.
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