Avant ce mardi 26 novembre, ces enseignants et personnels n’avaient jamais participé à un mouvement de grève. Cette fois, ils étaient dans la rue – de Liège à Bruxelles – pour dénoncer les économies prévues par le gouvernement et alerter sur les conséquences pour leurs étudiants.
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Publié le 26/11/2024 à 18h33
Temps de lecture : 4 min
LLe train IC à destination de Bruxelles-Midi arrivera sur la voie 7. » Vers dix heures ce mardi, les enseignants et personnels des écoles environnantes se rassemblent dans le hall principal de la gare. Il y a quelques groupes dispersés avec des vestes vertes et rouges sur le dos. Un paquet de tracts sous le bras, ils appellent les navetteurs de la SNCB à les sensibiliser aux mesures d’économies prévues par le gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles. « On peut évidemment se demander si la grève sert à quelque chose », reconnaît Gaëlle, 32 ans, enseignante en économie familiale et sociale à l’Institut des Filles de Marie. « Aujourd’hui, c’est l’avenir des étudiants qui est directement en jeu. Ce n’est pas une question de salaire ou de pension. »
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