Par
Emmanuel Verdeaux
Publié le
24 novembre 2024 à 17h38
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Hilarion (appelez-le Tableau) un 19 ans. C’est donc comme jeune adulte qu’il a quitté son pays il y a un peu plus d’un an. « Nous sommes arrivés deOdessasitué au sud du pays, 1 an après le début de la guerre », dit celui qui aspire à étudier la linguistique. Une arrivée pour plusieurs personnes.
Il y a lui, ses parentsmais aussi un grand-père, une grand-mère, son frère et sa petite amie. Aujourd’hui, il se retrouve dans Région de Ploërmeldans un pays, la France, où il a déjà adapté : « les gens, la mentalité, ça colle bien »il explique.
Les affaires de corruption en Ukraine sont une tâche…
A l’époque, c’était fuir un conflit et un Oppresseur russe sur lequel le point de vue de Larik était et reste clair et clair. C’est bien le La Russie de Vladimir Poutine qui détient le rôle de l’agresseur. Cependant, le regard par le jeune Ukrainien a quelque peu changé.
Au désir farouche de défendre le pays il y a 2 ou 3 ans, remplacé un point de vue et un peu plus nuancé. Pas par désenchantement envers son pays. Mais par désillusionau fil des années. La faute en revient aux nombreux scandales de corruption avoir entaché l’administration Zelensky.
C’est dans cette optique que le fuite alorspour des raisons pacifistes, prend un une cadence incendiaire contre la gouvernance ukrainienne. Car tout ne semble pas rose du côté de Kyiv. Là conscription forcée ne serait pas pas la prérogative des autorités russes. Du côté ukrainien également, nous nous enrôlons de toutes nos forces, sans nous laisser le choix.
Et parfois – souvent – sans considération. Tels ceux-ci anciens prisonniers de guerremarqué du sceau de choc post-traumatiqueet renvoyé au front. Avec ce regard : « Partir en guerre ? Mais pour protéger quoi ? »
La sentence paraît dure. C’est la conséquence d’un désintégration des institutions et ses dirigeants. L’état de grâce du président Zelenski semble maintenant loinaux yeux de Larik…
Une guerre de tranchées qui s’enlise…
Il s’agit aussi et surtout de résolution de conflits. Au cours des trois dernières années, l’administration Biden/Harris a soutenu l’effort de guerre. Vraiment ? Certainement, l’aide militaire est indéniable. Mais avec cette impression d’aide, non ne pas gagner la guerremais juste pour le continuer. La nuance compte…
Pour preuve, il cite une situation de givre sur le front : un guerre de tranchées qui a à peine bougé depuis des mois. « Il n’est pas possible de reprendre les territoires occupés, et le front est toujours… »
Dans ce contexte, à quelque chose, le malheur est bon ? Tarik semble le penser. Et Donald Atout aurait presque pu les qualités de ses défauts… Le retour du républicain est-il au pouvoir catastrophique? ” Non ! Et je pense que le discours médiatique va changer» sur le sujet, estime Larik. Il l’explique.
A ses yeux, Atout “est un politicien cynique » : aucune ambiguïté à ce sujet. Mais « il fait ce qu’il dit ». Surtout, de la fermeté de Trumpou même sur son côté pur et dur, des opportunités peuvent émerger. Cela pèse un autre poids sur la situation. Et “Je pense qu’il va essayer de faire compromis », évoquant la nécessité de “Prenez toutes les options possibles…”
Poutine pourrait être conduit à négocier avec Trump avec plus de prudence et moins de certitudes que face à l’administration Biden… D’une certaine manière, Trump et son caractère optimiste pourrait agir commearme de dissuasion… Et Paris risqué, mais nécessaireSelon Larik.
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