Résultat final : Naples-Rome 1-0
Svilar 6 – En confiance dans ses sorties et dégagements, comme à l’occasion du tir de McTominay en première mi-temps. Il ne peut rien faire contre le but de l’ancien Lukaku, qui marque le 1-0 devant le but après une double erreur d’Angelino et Hummels.
Alphabétisation 6 – De son côté, il a un client très difficile à gérer comme Kvara, qui au bout de deux minutes est déjà dangereux. Tout laisse présager une soirée compliquée et dans la phase de poussée sa prestation est évidemment inférieure à celle d’Angelino, mais si le Géorgien n’a finalement pas d’impact c’est aussi grâce à lui (Dal 78′ rue Saud).
Mancini 6 – Soyez prudent lors du marquage et de l’anticipation, commencez par le milieu en ligne de quatre puis évoluez vers la droite en forme de bras. Combien de huées des supporters de Naples au moment de son remplacement (Dall’88’ rue Dybala).
Il est 6 heures – Le même argument avancé pour l’ancien coéquipier est valable, mais l’ancien joueur de l’Eintracht est encore plus providentiel dans au moins quelques situations.
Angélin 5 – Sa première mi-temps a été attentive et dans la seconde mi-temps les deux principaux dangers créés par la Roma sont venus directement de ses pieds (le tir de Baldanzi et la barre transversale de Dovbyk), mais l’erreur à l’occasion du but qui a finalement décidé que le match devait être un crayon rouge .
El Shaarawy 5.5 – En première mi-temps, il joue sur l’aile droite en 4-4-2 et ne fait rien. Il a cependant le mérite de sauver le résultat avec un arrêt fondamental sur Kvara à l’approche de la pause (Dal 46′ Hummels 5 – On parle beaucoup de son manque de propriété et, en général, de son manque d’espace, mais sommes-nous sûrs que ce Hummels est meilleur que les autres défenseurs centraux de la Roma ? Il entre en seconde période et Lukaku se perd sur le but).
Koné 6 – Beaucoup de récupérations au milieu de terrain, presque comme s’il s’agissait d’une pieuvre aux mille tentacules. De Rossi, Juric ou Ranieri, les entraîneurs changent mais il doit être une certitude au milieu.
Cristante 6 – Un autre footballeur dont on parle beaucoup, un autre de ceux qui se sont retrouvés sur la soi-disant « liste noire ». Le fait est que l’ancien gladiateur de l’Atalanta à Maradona a joué un test d’une grande intensité dans les deux phases.
Pisilli 5,5 – Il a débuté sur la gauche dans le 4-4-2 de la première mi-temps, pour se retrouver dans une position plus confortable après le changement de formation en début de seconde mi-temps. Le premier signe de la Roma est venu grâce à son tir lointain après 20 minutes, mais il n’a pas pu aider Angelino dans ses tâches défensives sur Politano et Di Lorenzo (Dal 78′ Dahl sv).
Pellegrini 5,5 – Monsieur Ranieri avait tenté de le pousser lors de la conférence de presse d’avant-match, mais le moment reste de peu de conviction et, parfois même, d’inconscience. Remplacé après une période sans avoir laissé ses traces, sauf d’un tir très haut (À partir de 46′ Baldanzi 6 – L’ancien joueur d’Empoli rate un superbe but d’Angelino, mais il reste le joueur de la Roma le plus proactif en seconde période. Si quelqu’un réagit après le but de Lukaku, c’est bien Baldanzi.)
Dovbyk 5,5 – Il frappe de la tête une transversale sensationnelle suite à un coup franc du droit d’Angelino. Pour le reste, il joue avec la défense napolitaine sans presque jamais sortir vainqueur des duels avec Buongiorno et Rrahmani.
Claudio Ranieri 5.5 – Le défi de Sir Claudio sera cette fois très difficile, car cette équipe de la Roma a des limites structurelles et une absence totale de certitudes du point de vue du jeu. Il l’a très bien vu lui-même, lorsqu’après une première mi-temps de défense seulement contre Maradona, il a tenté de réveiller son équipe en changeant de formation et deux interprètes déjà à l’intervalle. Cela n’a pas suffi, même si son équipe a au moins retrouvé un peu plus de compacité.
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